Fiche de lecture
Appellation en anglais
Les termes anglais sont : book report, reading note card, synopsis, reading summary.
Résumé introductif
Stratégies apparentées
Prise de notes: l'élaboration d'une fiche de lecture s'apparente à cette microstratégie parce que les deux peuvent consigner par écrit de l'information qui peut être utilisée ultérieurement. La différence réside dans la provenance de l'information; la prise de notes peut concerner un exposé oral ou un texte alors qu'une fiche de lecture ne contient que l'information cueillie pendant la lecture de textes.
Prise de notes structurée: les deux microstratégies s'apparentent parce qu'elles sont structurantes et permettent de guider la prise de notes. La différence, tout comme la prise de notes spontanée, est la source de l'information.
Résumé: les deux microstratégies mettent l’emphase sur la lecture. La différence est que la fiche de lecture va au-delà d'un résumé. Cela signifie non seulement qu'il faut produire un écrit organisé, réduit et cohérent, mais qu'il faut cibler les informations nécessaires pour identifier un document et le retrouver plus tard.
Type de stratégie
Types de connaissances
Rédiger une fiche de lecture permet d'amplifier ou d'améliorer les dispositions et compétences de l'apprenant. On appelle « compétences » les connaissances mobilisées durant la lecture et l'élaboration des fiches de lecture; les compétences combinent habituellement quatre types de connaissances : factuelles, conceptuelles, procédurales et métacognitives.
Factuelles: produire une fiche de lecture d'un livre permet d'en ressortir les éléments principaux comme les personnages, l'auteur, le genre, etc. Une bonne fiche de lecture fait maximum deux pages. Dans le cas contraire, l'apprenant n’a pas réussi à aller à l'essentiel. Ces données qui seront compilées dans la fiche de lecture correspondent aux connaissances factuelles de l'oeuvre qui sont déclaratives. De plus, elles correspondent également aux "connaissances des détails et des éléments spécifiques dans un domaine particulier" (connaissances factuelles, s.d.).
Conceptuelles: Ces connaissances sont nécessaires pour analyser une histoire en particulier, pouvoir la classer et la mettre en relation avec d'autres catégories de lecture. Pouvoir classer un texte revient donc à reconnaître et distinguer ses attributs essentiels, les mettre en relation, et nommer cette combinaison d’attributs par une étiquette ou un concept; par exemple, le genre littéraire de l'ouvrage. Élaborer une fiche de lecture requiert non seulement de connaître différentes catégories et classifications, mais de savoir les relier de façon à former un ensemble cohérent des connaissances dans le but de décrire, expliquer, comprendre et prévoir les phénomènes qui font objet d'un champ des connaissances.
Procédurales: l'élaboration d'une fiche de lecture implique une méthode d’analyse littéraire qui consiste à réaliser un certain nombre d’étapes en utilisant des connaissances conditionnelles, sur des critères pour déterminer, par exemple, quand utiliser des procédures appropriées de classement.
Les connaissances des actions qui peuvent être utilisées pour extraire, traiter et organiser les informations contenues dans un texte sont des connaissances métacognitives. Les connaissances stratégiques métacognitives utiles dans les situations d’apprentissage par les textes (text-based learning) appartiennent à trois groupes : rappel, élaboration et organisation des informations (Weinstein et Mayer, 1986). Également, les connaissances des actions de régulation, contrôle et suivi de ses propres processus cognitifs pour élaborer une fiche de lecture: décomposer une tâche en sous-tâches, se poser des questions pour vérifier sa compréhension durant la lecture d’un texte, ainsi que les connaissances mises en œuvre dans la résolution de problèmes font partie des connaissances métacognitives.
Description
Une prise de notes se fait souvent sous forme de fiche de lecture. Celle-ci est un aide-mémoire pour faire ressortir l'essentiel de la lecture d'un livre, d'un recueil ou d'un article. Avec un papier et un crayon, des informations sont notées telles que: références bibliographiques, auteur, résumé, personnages, critique, localisation du document comprenant la cote du livre, le sujet du document, des définitions, des citations et aussi des commentaires personnels, etc. (Delord). La fiche de lecture doit être utile pour l'utilisateur et elle sera réutilisée tout au long des études ou de la recherche. Le but des fiches de lecture est de systématiser et de classer l'information de façon rigoureuse et ordonnée.
On rédige également une fiche de lecture en vue d'un exposé ou de l'élaboration d'un compte rendu. De ce fait, l'apprenant peut lire une première fois son texte et revenir sur celui-ci une deuxième fois, réfléchir sur la pensée de l'auteur et ses propos pour ensuite débuter sa prise de notes plus structurée. Selon l'objectif de lecture, l'apprenant peut considérer cette stratégie pour classer le contenu d'un livre entier, d'un thème particulier ou les données cueillies dans le cadre d'une recherche (thèse, documents scientifiques, rédaction littéraire). L'apprenant réalise en ce moment une prise de notes sélective (prise de notes structurée), car il ne notera que les informations dont il aura besoin. Au fur et à mesure que la recherche avance, l'information va s'accumuler et l'apprenant doit faire preuve d'une bonne méthode de classement de l'information dont la fiche de lecture fait partie.(R. Delord, s.d.). Pour gérer efficacement son temps, il est conseillé de recueillir méthodiquement l’information amassée et les fiches de lecture serviront non seulement à retrouver un ouvrage consulté mais aussi à prendre de notes en vue de la rédaction du travail de recherche. Une bonne méthode de rédaction de la fiche aidera l'apprenant à gérer son temps efficacement.
Exemple de fiche de lecture:
Information à noter | Contenu |
---|---|
La référence complète du texte | Les ressources doivent être citées selon les normes APA. Il est recommandé de les consulter pour connaître les éléments à retenir, dépendamment du type de document (nom des auteurs, lieu et maison d'édition, nombre de pages, langue d'origine, etc.). Il est conseillé ici d'inclure une mini-biographie de l'auteur. |
La localisation du document | Noter l’information d’accès au document :
• Livre : Bibliothèque, section de la bibliothèque et cote de rangement sur les rayons • Article : Base de données ou URL • Site Web : URL |
Le sujet et les mots clés | Identifier un thème général et des termes spécifiques aide bien à repérer les fiches. |
Résumé | Inclure la position de l'auteur (thèmes et messages), ses arguments, ses hypothèses ses idées importantes, sa conclusion, cadre de l'oeuvre. |
Les citations et définitions | Reproduire fidèlement les citations et les définitions. Elles doivent être placées entre guillemets et la page de l'ouvrage d'où elles ont été tirées doit être indiquée. |
Les commentaires personnels | Ajouter ses interprétations personnelles, les aspects pertinents pour le travail et des liens avec d’autres lectures. Il est important de mentionner ce que cette oeuvre vous a permis de comprendre. |
En réalité, on connaît peu sur l'origine de cette méthode de classement de l’information. Elle représente un ensemble de différentes fiches utilisées depuis des décennies servant à cueillir des données variées, qui peuvent être selon le contenu: fiche référence, fiche citation, fiche résumé, fiche de commentaires, fiche mixte, fiche réflexion, etc. Il est recommandé de ne les utiliser qu'au recto et réserver le verso aux commentaires ultérieurs. Aussi, un système de couleurs codifié selon les besoins serait conseillé. (Tremblay, 1989).
Conditions favorisant l’apprentissage
La fiche de lecture est utile dans tous les domaines où la compréhension d'un texte s'avère nécessaire; école primaire, secondaire, pré-universitaire, universitaire, dans la recherche et d'autres domaines comme l'environnement de travail.
Au primaire, les fiches de lecture aident les élèves à développer la compréhension de textes, enrichir leur vocabulaire, travailler les notions de grammaire et de s'entraîner à faire des recherches de mots dans le dictionnaire. À ce niveau, les fiches doivent être imprimées selon le but pédagogique de l'enseignant. Les élèves n'ont encore pas la capacité de les créer parce que la métacognition chez les enfants d'âge préscolaire est basée sur l'importance potentielle de l'environnement. Les compétences métacognitives telles que l'autorégulation, la planification, l'opinion de soi et le monitoring, se développent pendant la période préscolaire, dans l'interaction avec les adultes ou les pairs au cours de la résolution des problèmes. L'autorégulation serait ainsi un processus au cours duquel l'enfant prend progressivement en charge la conscience de soi.
Au secondaire (collège), l'élève peut se servir de cette stratégie pour travailler la compréhension, le vocabulaire, l'écriture et la créativité. Le but est plus ciblé et les compétences beaucoup plus développées. Les fiches sont un peu plus élaborées et peuvent inclusivement être créées de façon électronique. Un élève du secondaire peut, compte tenu de ses compétences, présenter les fiches de lecture sous forme de tableau en vue d'une consultation plus rapide et efficace lors de la préparation d'activités d'apprentissage en classe ou des examens.
Pour ce qui est des niveaux préuniversitaire et universitaire, l'usage de cette stratégie vise à favoriser la disposition spatiale des informations: l'organisation des notes en paragraphes, décalages entre lesdits paragraphes pour hiérarchiser les idées et retenir ce qui est vraiment important du texte lu. En élaborant des fiches de lecture lors des travaux d'analyse de textes, les étudiants accèdent à leur conscience par l'analyse de ce qu'ils sont capables de produire et par la confrontation avec les fiches et l'analyse d’autres étudiants. Le travail à cette étape d'apprentissage est plus profond, plus élaboré, plus analytique et pointilleux.
Niveau d’expertise des apprenants
Cette stratégie est adaptée à tous les apprenants quel que soit le niveau de connaissances préalables dans le domaine d'études: débutants, intermédiaires et experts. Elle s'avère un outil précieux dans les travaux de recherche dans un environnement de travail.
Le niveau d'expertise d'un apprenant au primaire ou préscolaire est plutôt faible et dépend grandement de l'adulte. Ce qui n'empêche pas qu'il puisse développer ses compétences et connaissances métacognitives en utilisant les fiches de lecture comme une stratégie d'apprentissage guidé. Concernant les apprenants du niveau secondaire, le guidage est plus faible, puisque l'apprenant a développé beaucoup plus ses compétences (connaissances conceptuelles, factuelles, procédurales et métacognitives). Compte tenu de son âge, l'usage de cet outil cible surtout les connaissances procédurales et métacognitives sans toutefois négliger l'aspect conceptuel-factuel. Finalement, au niveau pré-université, université et environnement de recherche, la fiche de lecture devient un outil dont l'usage reflète l'autonomie et les compétences développées par l'apprenant tout au long de sa formation. À ce niveau, les fiches de lecture visent les compétences en lecture active: rechercher, lire, prendre de notes, comprendre, organiser, résumer, classer, diriger, conclure, etc.
Type de guidage
Décrire quel est le type de guidage et de support offert par la stratégie. Faire les liens avec le niveau d’expertise des apprenants en décrivant comment et pourquoi le type offert est censé favoriser l’apprentissage de ces apprenants.
Type de fiche de lecture:
Il existe différents types de fiches de lecture avec chacune des différentes structures:
- Fiche de lecture linéaire (ou classique): on y retrouve les références de l’ouvrage, la présentation (auteur, thème abordé dans l’ouvrage, le contexte, le plan de l’ouvrage), un résumé, une analyse ainsi que la conclusion. Ce type de fiche est utile pour préparer les examens et aussi pour faire des fiches de lecture professionnelle (formation). On peut construire cette fiche de lecture de façon thématique avec un résumé suivi d’une analyse par partie thématique.
- Fiche de lecture analytique: elle ressemble à une synthèse de document mais avec l'ajout de commentaires personnels (regard critique). Elle est composée de quatre sections: introduction (présentation de l'ouvrage et de l'auteur ainsi que la contextualisation), plan thématique (il est possible de reprendre le plan de l'ouvrage mais en ajoutant un esprit de synthèse, il est essentiel de trouver le fil conducteur qui relie les chapitres ou objectifs du travail ensemble, association du résumé et la réflexion de chacune des parties), travail personnel ( à ce stade il faut soulever des questionnements en lien avec ce qu’on a lu ou on a rencontré dans sa pratique) et une conclusion (proposer un axe de recherche).
- Fiche de lecture croisée: on construit une fiche avec plusieurs documents avec une partie pour chacun des documents et elle contient aussi une section de lecture personnelle.
Type de regroupement des apprenants
Décrire le type de regroupement préconisé par la stratégie et comment on peut le réaliser. Donner des exemples.
Il faut distinguer deux éléments dans la réalisation des fiches de lectures:
Les opérations intellectuelles:
- Le choix des données: résumer (ensuite on mémorise l'information) est utile pour ensuite effectuer une réflexion (reformulation personnelle). Deux sortes d'éléments: les essentielles du texte (dates, noms, titres, statistiques, terminologie, concepts fondamentaux, définitions, etc.) et les éléments à écarter (redites ou répétitions, développements trop longs, exercices en trop grandes quantités, lieux communs et références).
- La restitution de la démarche: deux opérations caractérisent cette section, il faut commencer par découper le texte (étudier la présentation du document) et celle des paragraphes (addition, opposition, causalité, dialectique, etc.) Ensuite, on effectuer une autre analyse les passages importants et essentiels (découper le raisonnement de l'auteur et dégager les idées)
- La réflexion critique personnelle: deux opérations caractérisent cette section. Tout d'abord, il faut questionner le texte (précision sur une définition? La valeur du document? Contradictions entre deux affirmations?, etc.) Ensuite, il faut utiliser les connaissances acquises antérieurement (références d'autres ouvrages sur le sujet, commentaires ou explications).
La présentation matérielle en vue d'une utilisation ultérieure:
- Identification de la fiche pour un repérage bref et efficace: il faut trouver l'information recherchée sur-le-champ. Il est aussi possible d'utiliser un index de classement (numérique, alphabétique, thématique, etc.)
- Disposition de la fiche pour une consultation rapide: il est nécessaire d'espacer et de bien articuler les rubriques et l'analyse d'une façon logique. On peut la diviser en différentes sections: sous-titre, numéroter, souligner, encadrer. Bref, tout ce qui aidera son utilisateur à se repérer facilement lors de sa recherche.
- Intervention personnelle sur le contenu de la fiche: il faut se contenter de notations marginales en mentionnant ces critiques, doutes, renvoies, références, illustrations, etc.
Il est important aussi de se réserver un espace pour des commentaires ultérieurs.
Milieu d’intervention
Elle est utilisée dans tous les milieux scolaires (primaire, secondaire, universitaire, etc.), mais aussi dans les écoles de commerce et de management. La fiche de lecture est amplement utilisée dans un milieu de recherche: sciences sociales (économie, sociologie, démographie) et sciences humaines (histoire, géographie, géopolitique, etc.).
Conseils pratiques
Dans la mesure du possible, fournir des conseils, des « trucs » ou des « astuces » en lien avec des exemples issus de la pratique « réelle » de cette stratégie.
Plusieurs moyens existent pour réaliser une fiche de lecture. Il faut organiser les données cumulées dans le travail de façon uniforme:
- manuellement (avec crayons, marqueurs, etc.);
- avec un logiciel de traitement de texte (ex.: Word);
- avec EndNote (logiciel bibliographique);
- avec Zotero (logiciel bibliographique);
- avec des logiciels de notes, par exemple Evernote, Simplenote,etc...;
Information tirée de la page web de l'Université de Montréal.
Bibliographie
Dans cette section figurent les articles des revues (y compris les revues en ligne, les livres ou les chapitres de livres (y compris ceux qui sont disponibles en ligne). L'hyperlien peut être indiqué si possible. Les ressources doivent être citées selon les normes APA. Pour ce faire, utilisez le guide suivant : Couture, M. (2013, mise à jour). Adaptation française des normes bibliographiques de l'APA. Récupéré du site http://benhur.teluq.uquebec.ca/~mcouture/apa/Presentation.htm
Delord, R. (s.d). Méthodologie - Rédiger une fiche de lecture. Repéré du site http://monnet-col.spip.ac-rouen.fr/IMG/pdf/pdf_Methodo_-_rediger_une_fiche_de_lecture2.pdf
Gausser, M. (2015). "Lire pour apprendre, lire pour comprendre". Dossier de veille de l’IFÉ, n°101. Lyon : ENS de Lyon.
Lebrun, M., Coulet, C. (2003). "Favoriser un rapport critique à la lecture/écriture littéraire en constituant la classe comme une communauté active de lecteurs et d’auteurs". Enjeux, p. 99-114.
Levasseur, C. et Bergeron, G. (2012). "Méthodes de travail efficaces"". Université de Montréal. Service aux étudiants.
Tremblay, R. (1989). "Savoir faire : Précis de méthodologie pratique pour le collège et l’université". Montréal, McGraw-Hill Éditeurs, 226 p.
Webographie
UQÀM, Infosphère, "prendre des notes de lectures" (Consulté le 25 juillet, 2018). http://www.infosphere.uqam.ca/analyser-linformation/prendre-notes-lectures.
Université de Montréal, "Méthodologie de rédaction d'un travail universitaire" (Consulté le 25 juillet, 2018). http://guides.bib.umontreal.ca/disciplines/312-Methodologie-de-redaction-d-un-travail-universitaire?tab=1355
Veille informationnelle (ressources disponibles pour améliorer la fiche)
Beloeil-Benoist, Y. (2012) "Comment faire une bonne fiche de lecture? Espace Prépas. (p.24-26)
Chevalier, B. (2004). «Lecture et prise de notes : gestion mentale et acquisition de méthodes de travail». Éditions: Armand Colin, Paris.
Connaissances conceptuelles, factuelles, procédurales et métacognitives (s.d) Dans Wiki-TEDIA. Repéré le 14 juillet à http://wiki.teluq.ca/wikitedia/index.php/Connaissances_factuelles
Dionne, B. (2008). «Pour réussir : guide de méthodologie pour les études et la recherche», Édition Beauchemin.
Letarte, A. et Lafond,F. (1999). «La concentration et la gestion du temps», Centre d’orientation et de consultation de l’Université Laval.
Letarte, A. et Lafond,F. (1999). «La lecture active et la mémorisation», Centre d’orientation et de consultation de l’Université Laval.
Letarte, A. et Lafond,F. (2001). «L’écoute en classe et la prise de note», Centre d’orientation et de consultation de l’Université Laval.
Simonet, R. et Simonet, J. (20050. «Savoir prendre des notes», Éditions Eyrolles, Paris.
St-Jean, S. (2006). «Études efficaces : méthodologie du travail intellectuel», Éditions CEC.
Tremblay, R. et Perrier, Y. ( 2000). «Savoir plus, outils de méthodes de travail intellectuel», Éditions Chenelière/McGraw-Hill.
Vigneron, D., Lembré, S., & Olivier, I. (2015). « réaliser une fiche de lecture : pourquoi, comment ? » lien internet: file:///C:/Users/cacou/Documents/fichedelecturediaporama23septembre2015.pdf
Vioux, A. (2014). 8 étapes pour faire une fiche de lecture sensationnelle. Récupéré le 14 juillet à https://commentairecompose.fr/comment-faire-une-fiche-de-lecture/. On explique dans ce site comment faire efficacement une fiche de lecture en 8 étapes. Un vidéo très vulgarisée est également présentée sur le site.