Discussion:Apprentissage expérientiel

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Historique des modifications de la catégorisation de la fiche

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À commenter, le 6 janvier 2017 et419556

En rédaction,le 5 janvier 2017 et419556

Évaluation globale

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST)Bonjour ! C'est une fiche claire et bien rédigée. Elle donne une bonne ossature de départ pour une fiche qui vient tout juste d'être introduite dans la Banque. Les sources informationnelles choisies utilisées sont pertinentes et crédibles. Dans l'ensemble il s'agit donc d'un travail de structuration des informations tout à fait approprié. Toutefois, un effort pourrait être fait en ce qui concerne l'établissement de liens entre l'approche cognitive (les connaissances acquises dans le cours TED 6210 notamment) et celles élaborées sur la stratégie de l'apprentissage expérientiel. Dans les sections, je vous propose des conseils détaillés à ce sujet. Il vous appartient de décider de ce que vous allez en faire. Vous n'êtes pas obligé de les traiter tous, mais il est souhaitable de vous positionner en répondant aux questions dans cette page de discussion et en justifiant vos actions (ou votre absence d'actions). Vous pouvez également faire des propositions aux contributeurs à venir. Bon travail de révision ! (notez que j'ai corrigé quelques coquilles directement dans votre fiche).

--M Toupin, étudiant TED6210 (discussion) 12 octobre 2017 à 11:32 (EDT) Cette fiche m'a beaucoup intéressé. Je trouve cependant qu'elle se concentre sur le développement professionnel et la conception de Kolb de l'apprentissage expérientiel, qui quoiqu'importants, limitent les applications et les interventions. À cet égard, je suggère une revue de Balleux, A. (2000) et de Gomez-Gonzalez, Léger, Bourdage et Dionne (2013) qui impliquent plus globalement toutes les ressources cognitives (émotions, conviction...) de l'apprenant durant l'apprentissage expérientiel et positionne cette stratégie dans une perspective de la quête de sens (existentielle ou pas).

Commentaires détaillées par section

Appellation en anglais

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST) Je ne pense pas que "experimental method" soit le terme anglais adéquat.

Vous avez raison, ce terme a été ajouté par une autre personne (et419159, probablement pour le volet B de travail 3 J). Je l’ai retiré.
Manon Tremblay 8 février 2017 à 11:30 (EST)

Stratégies apparentées

--M Toupin, étudiant TED6210 (discussion) 11 octobre 2017 à 11:25 (EDT) Faut-il prendre en compte les stratégies énumérées dans cette citation qui mentionne que l'apprentissage expérientel "is related to but not synonymous with other forms of active learning such as action learning, adventure learning, free-choice learning, cooperative learning, service-learning, and situated learning" (Wikipédia, mise à jour du 3 juin 2017).

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST) Est-ce que apprentissage et pratique autonome constituent des stratégies pédagogiques... Cela me paraît très vague comme appelation. Quelles sont vos sources pour justifier l'existence de stratégies qui portent ce nom ? (si elles existent, vous pourriez proposer de les introduire dans la banque).

Ce terme a été ajouté par une autre personne (et419159, probablement pour le volet B de travail 3 J). Je l’ai retiré. Manon Tremblay 8 février 2017 à 11:35 (EST)

Type de stratégie

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST) Pourquoi est-ce une macrostratégie ? Une courte explication serait bienvenue.

Type de connaissances

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST) Les connaissances à acquérir sont-elles acquises au cours de "l'expérience" dans le sens de " l'expérience concrète" qui, selon vos termes "représente le moment où l'étudiant effectue une tâche, vit une expérience" (ce qui correspond à la première phase du cycle de Kolb) ou sont-elles acquises lors des phases qui suivent ? Ce n'est pas très clair. Est-ce que, dans la mise en place de cette stratégie, l'enseignant doit uniquement réfléchir à la conception de cette première phase de l'"expérience concrète" ou est-ce qu'il doit aussi penser à la façon dont il va organiser les phases suivantes ? Autrement dit, est-ce que on présume que l'immersion de l'étudiant dans l'expérience suffit pour que celui-ci mette "naturellement" en route les processus d'observation réflechie, de la conceptualisation et de l'expérimentation de nouvelles connaissances (hypothèses) ? Ou, au contraire, l'enseignant ou le concepteur doit mettre en place des conditions favorables à la survenue de ces phases ? Dans ce cas, ne faudrait-il pas distinguer entre "expérience vécue" (de la "vraie vie" donc une tâche par exemple) et l'expérience d'apprentissage vécue (elle aussi) dans le cadre d'une formation ? Dans le premier cas, s'il suffisait de vivre "l'expérience concrète" pour apprendre, alors cette stratégie serait celle de "l'apprentissage sur le tas". Dans le second cas, on constate toute la complexité et richesse de la réflexion pédagogique pour mettre en oeuvre cette stratégie dans le cadre d'une formation. On pourrait ainsi réfléchir à la question suivante : est-ce que chacune des phases vise un type de connaissances particulier ? (par exemple, les connaissances métacognitives ne sont-elles pas visées lors de la phase de la conceptualisation ?) Si on pouvait distinguer les connaissances en les associant à chacune des phases, peut-être que cela faciliterait la conception pédagogique ? En tout cas, dans la formulation actuelle que vous proposez, les diverses connaissances semblent associées à la phase de l'expérience concrète... et je ne crois pas que cela se justifie dans la perspective de Kolb ni dans celle de l'approche cognitive.

Au commentaire : "On pourrait ainsi réfléchir à la question suivante : est-ce que chacune des phases vise un type de connaissances particulier ? (par exemple, les connaissances métacognitives ne sont-elles pas visées lors de la phase de la conceptualisation ?) Si on pouvait distinguer les connaissances en les associant à chacune des phases, peut-être que cela faciliterait la conception pédagogique ?"
Réponse :
Suite à la compréhension que je fais lecture du livre de Kolb, je ne crois pas que les types de connaissances soient particulièrement liés à une phase particulière. Kolb dit que la connaissance est le résultat des 4 phases du cycle d’apprentissage. D’ailleurs, les commentaires recueillis par Mandeville par les personnes qui ont vécu l’expérience de l’apprentissage expérientiel, décrivent leur expérience comme un tout. C’est ce que j’ai trouvé de plus clair pour l’expliquer et je l’ai ajouté dans la page WikiTEDia.Manon Tremblay 8 février 2017 à 11:38 (EST)

Description

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST)C'est une description claire et concise de l'approche proposée par Kolb. La première partie (jusqu'à "structure du processus d'apprentissage)décrit les phases qui peuvent être considérées comme des étapes de la macrostratégie. Un enseignant qui voudrait mettre en place cette macrostratégie, devrait concevoir un scénario qui les incluerait toutes et dans l'ordre proposé... Est-ce une interprétation correcte selon vous ? Si oui, vous pouvez la relier davantage à vos connaissances sur le rôle joué par les macrostratégies dans la conception.
J’ai ajouté une partie qui décrit les documents nécessaires pour les enseignants. Je n’ai pas de source car je me sers de mon expérience. Au centre de formation où je travaille, nous nous sommes rendus compte que le développement de ces documents assurait une uniformité dans l’atteinte des objectifs concernant les connaissances et expériences à acquérir, peu importe l’instructeur qui guide des apprenants.Manon Tremblay 8 février 2017 à 11:41 (EST)


--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST)La deuxième partie décrit les processus d'apprentissage mis en oeuvre dans chaque phase. Elle devrait selon moi, se trouver dans la section "conditions de l'apprentissage" : la stratégie de l'apprentissage expérientiel consiste donc à mettre en place des conditions pour favoriser ces processus d'apprentissage. Vous les avez bien catégorisées dans l'arbre des catégories : en cochant "activer", "centrer sur la tâche" "intégrer" et "pratiquer". Pourriez-vous faire des liens plus explicites dans votre texte entre la description de ces processus par Kolb et ces catégories de l'approche cognitive ? De plus, la relation entre les "processus' et les "modes" n'est pas très claire pour moi...

Conditions favorisant l’apprentissage

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST)Cette section serait plus précise si elle incluait la description de la "structure du processus de l'apprentissage" (voir le commentaire dans la Description) et des liens plus précis avec les conditions de l'apprentissage. Le texte du cours de Smith et Ragan, 2005 peut être utile pour analyser les relations entre les "conditions de l'approche cognitive" et les "processus" de Kolb. Son contenu actuel est très général. Dans le texte de Mandeville (1998) que j'ai pu lire, plusieurs liens sont faits entre cette stratégie et l'approche constructiviste et cognitive. Vous pourriez les utiliser pour démontrer qu'il s'agit bien d'une stratégie s'inscrivant dans l'approche cognitive.

--Elena Baraboi (discussion) 15 février 2017 à 06:11 (EST) Les conditions favorisant l'apprentissage selon l'apprche cognitive sont les suivantes: Activer Centrer sur la tâche Intégrer Motiver Pratiquer Présenter Réguler Structurer

Lesquelles sont les conditions favorisées par l'aprentissage expérientiel? Je trouve que pratiquer et centrer sur la tâche sont les plus importants éléments.

Niveau d’expertise des apprenants

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST)Ici vous utilisez le terme "expérience" pour décrire la situation d'apprentissage dans son ensemble (les quatre phases) ou juste la phase "expérience concrète" ? Selon votre réponse à cette question, les implications pour le concepteur pourraient être différentes ? Comment un concepteur peut déterminer le degré de "simplicité" ou de "difficulté" selon le niveau d'expertise ? Les textes que vous avez lus apportent-ils des conseils dans ce sens ?

Type de guidage

Dans le texte de Mandeville (1998), il y a plusieurs pistes intéressantes proposées au sujet du guidage. Il serait utile de les inclure ou au moins de les mentionner.


J'aime beaucoup la différenciation entre les deux étapes (expérience et observation). C'est vraiment intéressant de constater que dans une même stratégie l'intensité du guidage peut différer d'une étape à l'autre. Il serait peut-être intéressant de mettre une référence à cet effet.--Et323941 (discussion) 15 janvier 2017 à 19:39 (EST)Sara-Ann Doiron

Réponse :
J'ai ajouté une référence dans la page WikiTEDia pour supporter mes propos au sujet du type de guidage.

Malheureusement, je n'ai pas trouvé beaucoup d'autres informations dans la documentation que j'ai présentement. Mais, j'ai basé mon énoncé sur plusieurs années d'expérience. Au centre de formation où je travaille, nous utilisons la stratégie de l'apprentissage expérientiel depuis plusieurs années et il est évident que les expériences doivent être vécus par les apprenants sans que les formateurs s'en mêlent afin de laisser l'apprenant utiliser toutes les ressources qu'il possède.

Pour la phase de l'observation réfléchie, l'expérience nous a confirmé que les formateurs pouvaient être aidant dans la démarche de l'étudiant.

Pour la phase de la conceptualisation, ici aussi l'expérience nous a clairement démontré que les apprenants avaient grandement besoin d'un guide pour les aider à prendre le recul nécessaire afin de faire ressortir certains concepts. Parfois, les apprenants ont le nez trop près de l'arbre et ils ne voient pas la forêt. C'est le rôle du formateur.
.--Et419556 (discussion) 8 février 2017 à 11:20 (EST)Manon Tremblay


Type de regroupement des apprenants

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST)Ici aussi vous utilisez le terme "expérience" pour décrire la situation d'apprentissage (les 4 phases). Peut-on envisager que le type de regroupement soit différent à différentes phases ? Par ailleurs, sur quoi vous basez-vous pour affirmer : "l'expérience sera plus riche à plusieurs ?" Dans le texte de Mandeville (1998), qui rapporte les résultats d'une étude sur l'expérience d'apprentissage vécue dans un contexte informel (ce n'est pas une situation de formation d'après ce que j'ai compris), les participants semblent constater plutôt leur"solitude"... est-ce pour cette raison que vous dites qu'il vaut mieux être plusieurs ?
Dans ce cas-ci aussi, je parle par expérience. Nous avons remarqué que les étudiants apprenaient plus quand ils travaillaient en équipe de 2 à 6 personnes. Chacun faisant profiter de ses connaissances et expériences aux autres. Manon Tremblay 8 février 2017 à 11:43 (EST)

Milieu d’intervention

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST) Ici aussi il semble y avoir une confusion entre le milieu de l'expérience concrète et celle de la situation d'apprentissage... Dans l'exemple de l'utilisation de cette stratégie en milieu universitaire que vous avez cité (Pudelko, 2014), l'expérience concrète à laquelle on fait référence est en fait l'expérience antérieure vécue par les étudiants en tant qu'apprenants ou formateurs.

Conseils pratiques

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST) Ces conseils pourraient être intégrés dans la section Description. En fait, j'ai l'impression qu'ils précisent utilement chacune des 4 phases. Par exemple, clé no 7 concerne la phase de la conceptualisation en lien avec les connaissances métacognitives...etc.

Références

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST)Les références placées dans webographie de Chevrier et Charbonneau et de Mandeville devraient figurer dans la bibliographie utilisée dans la fiche.Ce sont des articles des revues (même s'ils sont disponibles sur le web) et devraient être cités comme des articles selon les normes APA (voir http://benhur.teluq.uquebec.ca/~mcouture/apa/Presentation.htm)
Référence complétée et déplacée. --M Toupin, étudiant TED6210 (discussion) 10 octobre 2017 à 15:04 (EDT)

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST)En revanche, la référence de Chartier devrait être dans la webographie (c'est un document récupéré directement sur le web).
Ressource toujours accessible. Référence et déplacée --M Toupin, étudiant TED6210 (discussion) 10 octobre 2017 à 15:04 (EDT)

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST)Je vous propose de référencer cette page web ainsi :Pudelko, B. (2014). Présentation de la stratégie de l’apprentissage expérientiel utilisée dans le cours EDU 1020. Récupéré du site du cours EDU 1020, Téluq http://edu1020.teluq.ca/mot-de-bienvenue/les-orientations-pedagogiques /
Correction déjà réalisée.--M Toupin, étudiant TED6210 (discussion) 10 octobre 2017 à 15:04 (EDT)

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:49 (EST)Selon les normes APA, les titres des livres devraient être en italiques./
Correction déjà réalisée.--M Toupin, étudiant TED6210 (discussion) 10 octobre 2017 à 15:04 (EDT)

--Béatrice Pudelko (discussion) 11 janvier 2017 à 17:50 (EST)Il faudrait préciser la source des figures (idéalement, il faut s'assurer que vous avez le droit de les reproduire...)./
Correction déjà réalisée.--M Toupin, étudiant TED6210 (discussion) 10 octobre 2017 à 15:04 (EDT)