Différences entre versions de « Tutorat (enseignement) par les pairs »

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== Type de regroupement des apprenants ==
 
== Type de regroupement des apprenants ==
  
On distingue différents types de regroupement dans un processus de tutorat. On peut avoir un scénario dans lequel les tuteurs sont assignés aux élèves de façon arbitraire, c'est-à-dire sans le consentement de ces derniers. Dans cette situation, on évite de se retrouver avec des élèves qui ont plutôt une préférence pour tel ou tel autre tuteur. Pour éviter que cela ne dégénère en conflit entre le tuteur et son tutoré, les responsables de ces deux entités, qui sont avant tout leurs encadreurs communs, doivent ménager le processus de telle sorte que les deux personnes trouvent du plaisir à être ensemble. De plus, la relation et la complicité entre les deux personnes se développe rapidement, sitôt que le tutoré se rend compte que son tuteur est une personne sur qui il peut compter. C’est même la raison pour laquelle l’un des principes fondamentaux pour la réussite du processus de tutorat est la confiance. Le tuteur doit pouvoir jouer auprès de son élève le rôle de personne ressource, de facilitateur de relations interpersonnelles. Il doit également créer un environnement de parité entre lui et son élève, de façon à encourager, stimuler, motiver et renforcer la motivation intrinsèque de l’apprenant( Deschênes 2001).
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Dans un processus de tutorat en peut retrouver différents types de regroupement. On peut y retrouver des scénarios où les tuteurs seront assignés à des élèves de façon provisoire ou sur une plus longue durée pour ainsi aider des jeunes en difficulté qui ont besoin d’aide à compléter l'enseignement reçu dans le cadre scolaire. Le tutorat peut se faire individuellement (face-à-face) ou en petits groupes.
Dans une autre circonstance, les tuteurs sont choisis en fonction de leurs affinités avec les élèves. Ceci permet d’éviter de perdre du temps en cherchant des moyens pour établir une relation de confiance entre les deux personnes.
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Un autre type de regroupement est celui qui se fait par classe d’âge. Le tuteur et le tutoré sont de même âge, ce qui signifie qu’ils ont à peu près la même perception de la réalité et peuvent par conséquent discuter sans tabous  de tous les sujets possibles. L’élève dans cette situation fait plus confiance à son tuteur, car il estime qu’il est le mieux placé pour le comprendre.
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Selon Deschênes (2001), le tuteur devra jouer auprès de ces élèves le rôle d’une personne ressource et de facilitateur en relations interpersonnelles. Il devra également être en mesure de créer un environnement de parité entre lui et son tutoré, de façon à l’encourager, à le stimuler, à le motiver, etc. Le travail effectué pendant les séances de tutorat peut se diviser en deux catégories : travail sur la matière principale (devoirs de maison, sujets d’étude ou exercices préparés) et d’autres activités d’apprentissage qui aideront les élèves à devenir des apprenants compétents.
Toujours dans la catégorie de regroupement par classe d’âge, il y a celui dans lequel le tuteur est plus âgé que le tutoré. Cette situation est la plus fréquente. C’est celle dans laquelle les élèves des classes supérieures assistent leurs cadets des classes inférieures dans la résolution de leurs problèmes.
 
  
 
== Milieu d’intervention ==
 
== Milieu d’intervention ==

Version du 22 janvier 2015 à 09:25

Ébauche

Appellation en anglais

Le mot tutorat prend plusieurs appellations lorsqu’on le transpose en anglais, surtout s’il est accompagné d’un autre mot aidant à mieux préciser son sens. C’est ainsi qu’on aura entre autre peer learning, peer tutoring, cross-aged tutoring, etc. en fonction du type d’accompagnateur et de son degré d’intervention, le thème tutorat prend des appellations diverses en anglais.

Stratégies apparentées

Il existe de nombreuses stratégies pédagogiques qui s’apparentent au tutorat par les pairs. On pourrait citer entre autre le tutorat à distance, le tutorat enseignant-élève, le tutorat apprenti-ainé, le tutorat en ligne comme celui dans le cadre de ce cours. Le tutorat à distance et devenue l’une des formes modernes d’acquisition des connaissances les plus utilisées de nos jours. Autrefois, il se faisait par de courriers, mais aujourd’hui, avec le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication, il devient de plus en plus facile entre un tuteur et son tutoré de communiquer et d’échanger par rapport au sujet d’étude. Le tutorat en ligne se fait entre deux ou plusieurs parties, dont la première sert de guide pour la ou les personnes qu’elle aide à atteindre un objectif d’apprentissage déterminé, et l’autre partie est constituée des personnes, des apprenants, à qui il revient d’acquérir des connaissances spécifiques dans un cadre précis. Les échanges ici se font essentiellement en ligne soit par des échanges de mails, soit par vidéoconférence, ou tout autre forme de réseaux sociaux, qui au fil du temps deviennent de plates-formes d’échanges entre des personnes ayant des intérêts communs. Le tutorat enseignant-élève quant à lui se passe entre un enseignant et un ou plusieurs élèves ou apprenants, dans un domaine bien précis. Généralement, il s’agit pour le maître de revenir sur des notions enseignées, mais dans lesquelles l’élève trouve encore des difficultés. Ceci se passe un peu comme un cours ordinaire, à la différence que le nombre d’apprenant est plus réduit et le cadre n’est toujours pas institutionnel. Le tutorat apprenti-ainé se déroule généralement au sein des entreprises ou des ateliers de formation. Ici, les personnes les plus expérimentées prennent par la main les jeunes arrivants afin de leur transmettre le savoir-faire nécessaire dans la réalisation des taches à eux dévolues. Il s’agit le plus souvent ici de transmettre des connaissances pratiques, sans toutefois rentrer dans les concepts ou les fondements théoriques des domaines concernés.

Type de stratégie

Le tutorat par les pairs fait partie des nombreuses microstratégies présentées dans le cadre du cours Stratégies pédagogiques, une approche cognitive.

Types des connaissances

Le tutorat dans son ensemble est une stratégie qui ne se limite pas seulement dans le cadre scolaire ou universitaire. Dans bien de domaines de la vie pratique, le tutorat est un exercice courant. Même dans les sociétés primitives, le tutorat a toujours été le moyen le plus efficace de transmission de connaissances d’une génération à l’autre. Les jeunes en copiant les actes de leurs ainés, et en se faisant corriger par ceux-ci, étaient en plein dans la pratique du tutorat. Dans les sociétés modernes, tout est un peu plus formalisé, et même des cadres juridiques sont définis pour contrôler et orienter le déroulement et la pratique du tutorat. Les pratiques ne concernent plus seulement les moyens de lutte pour la survie comme par le passé, mais englobent l’ensemble des savoirs et des connaissances pouvant être appris. De la science la plus élémentaire à la connaissance philosophique la plus complexe, toute forme de savoir peut se prêter à la pratique du tutorat, à la seule condition de réunir tous les éléments nécessaires à sa réalisation. Si l’on regarde seulement le domaine scolaire par exemple, on se rend compte que le tutorat n’épargne aucune discipline. Des sciences à la littérature en passant par les arts et technique, aucun élément ne mérite une attention moindre, tant qu’il y aurait des apprenants qui se trouvent en difficulté. Dans le système éducatif québéquois en particulier, où la recherche de l’excellence est une quête permanente, bien d’établissements scolaires et postsecondaires recourent à la pratique du tutorat. Un des nombreux exemples qui nous ont marqués c’est le Collège Dawson, qui a su mettre sur pied une pratique de tutorat dont les résultats sont des plus éloquents. Dans le souci d’améliorer les performances des élèves en difficulté, cet établissement scolaire offre des cours spécifiques aux personnes qui en ont le plus besoin, c'est-à-dire les élèves en difficulté. Ce programme de tutorat est entièrement organisé par l’administration de l’établissement à travers ses différentes structures. Le principe ici est très simple. On définit d’abord les matières dans lesquels les élèves ont le plus souvent de difficultés et les pose en priorité. Par la suite, on procède à un recrutement au sein même de l’établissement des apprenants dont les performances scolaires et disciplinaires peuvent servir d’exemple pour les autres. Puis on fait passer un test de connaissances aux différents candidats et on détermine pour finir qui sont les futurs tuteurs. Après la phase de sélection, on apparie chaque tuteur à un élève, en fonction du nombre de demandes exprimées. Les tuteurs ainsi choisi vont visionner un module dans lequel sont expliqués de façon théâtrale les rôles et attributions du tuteur. Les tuteurs sont parrainés par les enseignants des disciplines dans lesquels ils doivent intervenir. Ils reçoivent alors de ces derniers des conseils pour rendre plus efficaces leurs actions. Cette méthode permet au tuteur non seulement d’enseigner, mais aussi et surtout d’apprendre davantage sur ce qu’il est censé dispensé comme enseignement. La grande particularité de la pratique du tutorat au Collège Dawson est le fait que le tuteur reçoit une rémunération conséquente égale au salaire minimum, dont une partie est supportée par le tutoré à hauteur de deux dollars par heure.

Description

Legendre (Legendre 1993) définit le tutorat comme étant « Une intervention auprès d’une ou d’un élève ou d’un groupe d’élève visant [son] développement personnel et social […] en l’invitant à assumer ses responsabilités relativement à sa propre formation .». Il ressort de cette définition que le processus de tutorat nécessite la présence d’au moins deux acteurs dont l’un sert de guide à l’autre. On se retrouve ainsi en plein dans l’étymologie du mot pédagogie qui vient du grec pais ou paidos (enfant) et de agein (conduire/ guider). Le guide est appelé ici à mener l’enfant sur un chemin dont le but final est son accomplissement, sa maturité. L’intervention du tuteur dans la vie d’un élève ne vise pas exclusivement le côté cognitif de la personne. En plus de donner a ce dernier des connaissances dont il a besoin pour réussir son examen, c'est-à-dire des savoirs, il faut également lui inculquer le savoir-faire et le savoir-être, tous des éléments indissociables pour la construction d’un être accompli. C’est dans cette même optique que dans le cadre de son programme de tutorat, le Dawson Collège dont j’ai fait mention plus haut, procède à une sélection de ses meilleurs étudiants, non pas seulement ceux qui ont de bons résultats scolaires, mais également ceux dont le comportement pourrait inspirer, servir d’exemple aux autres. On peut donc se rendre compte que la pratique du tutorat tel que vécu aujourd’hui n’est pas une invention du monde moderne. Ses origines sont beaucoup plus lointaines qu’elles ne paraissent. Cependant, la mise en œuvre d’une activité de tutorat n’est pas aussi simple qu’on peut l’imaginer. Parlant de médias intervenant dans le processus de tutorat, il convient de dire que ceux-ci sont variables dans l’espace et dans le temps. On ne saurait apprendre à un enfant vivant dans une région sans électricité le principe de mise en marche d’un ordinateur alors que ce dernier n’en a jamais entendu parler, tout comme il serait inadéquat d’expliquer à un élève de première année du secondaire d’un établissement de la ville de Montréal, le fonctionnement d’un moteur turbo, en se servant d’un moteur 2 chevaux des années 1870. Le média utilisé dans un processus de tutorat doit être le même ou du moins le plus proche possible que celui utilisé dans des situations réelles de cours.

Conditions favorisant l’apprentissage

Il y a des facteurs qui facilitent le processus de tutorat, tout comme il y en a qui en sont de véritables freins. On pourrait citer entre autres éléments de compatibilité dans un processus de tutorat par les pairs, la proximité entre le tuteur et le tutoré. Le fait que les deux acteurs appartiennent à la même sphère et dont côtoyant le même environnement physique crée un sentiment de complicité entre les deux entités. La différence d’âge n’étant généralement pas très grande comme ce pourrait être le cas dans une situation de tutorat enseignant/élève, les échanges et les discussions sont plus détendus et le tutoré peut poser même des questions qu’il n’oserait pas dans une autre situation. Joan Gaustad (1993) résume cela en ces termes: « One-to-one tutoring has long been recognized as superior to group instruction, especially for students with special needs. Tutoring can adapt instruction to the learner's pace, learning style, and level of understanding. Feedback and correction are immediate. Basic misunderstandings can be quickly identified and corrected, practice provided, and more difficult material introduced as soon as the student is ready. » Comme obstacles au développement d’un processus de tutorat, on peut citer l’incompatibilité d’humeur entre les différents acteurs, les contraintes administratives comme par exemple l’affectation a cheque tuteur d’un cadre adéquat dans lequel il pourrait s’exercer. En France par exemple, le tutorat fait l’objet de vives critiques dans les milieux universitaires et scolaires, dans lesquels les tuteurs sont catalogués comme étant des « profs au rabais » (Bachelet, 2011). En dehors du Dowson College que j’ai cité plus haut comme exemple palpable de réussite de la méthode de tutorat par les pairs, on pourrait également en citer d’autres comme la Coca-Cola Value Youth Programm(VYP) qui a été développé aux Etats-Unis par l’Association pour la Recherche du Développement Interculturel(IDRA), et dont le but était de donner des chances égales aux apprenants d’origine hispanique, qui constituent des populations à risque pour la communauté américaine. Pour ce faire, chaque élève en difficulté devait se faire assister par un tuteur sélectionné parmi les meilleurs élèves de chaque école où le programme devait se tenir, et à qui une brève formation a été donnée dans le but de les aider à mieux gérer la communication et les relations interpersonnelles avec leurs tutorés. Ces tuteurs devaient également bénéficier de la gratuité des frais de scolarité. Des exemples peuvent être cités à profusion.

Niveau d’expertise des apprenants

Le tutorat par les pairs ne concerne pas seulement les apprenants débutants dans un domaine précis. On peut rencontrer des situations dans lesquelles le besoin d’un tuteur pour un élève se fait ressentir dès les débuts de sa formation, tout comme un autre peut s’avérer indépendant en tout début et qu’en cours de formation, on éprouve la nécessité de lui allouer un tuteur, parce-que ses aptitudes à être autonome sont devenues insuffisantes. De toutes les façons, le rôle du tuteur sera celui de le rendre le plus autonome possible. Il convient de préciser que pour une bonne réussite d’un programme de tutorat, il faut d’abord évaluer le degré de difficulté des élèves concernés. Cette tâche incombe à l’enseignant même chargé de cet élève ou de la discipline concernée et non pas au tuteur, qui, ne l’oublions pas, est avant tout un autre élève. Lorsque le problème ou la difficulté d’un apprenant a été identifiée, le rôle du tuteur est de mettre un accent particulier sur cet élément. L’enseignant quant à lui joue le rôle de superviseur et doit s’assurer que l’évolution du tutoré est palpable. Dans le cas contraire, il doit revoir avec le tuteur ce qu’il y a lieu de faire pour atteindre les objectifs fixés. Il est également de bon ton de préciser que le tutorat est un programme par objectifs, dans lequel le tuteur doit remplir un cahier de charges en fonction des difficultés de l’élève. De façon plus concrète, si l’on a affaire à des élèves ayant des difficultés en français par exemple, on ne dira pas à un tuteur de lui venir en aide en français. Ce serait un tâche immense pour celui qui comme son tutoré est également un apprenant. L’enseignant se chargera d’abord d’identifier sur quel élément du français le tuteur doit travailler. Il s’agit ici d’un processus de segmentation de la difficulté, au point de ne se concentrer que sur l’élément même qui cause le problème, ceci permet d’apporter des réponses efficaces et plus efficientes.

Type de guidage

Dans une situation de tutorat par les pairs, on pourrait envisager deux types de guidages. Dans un premier temps, on assiste à une situation dans laquelle le tuteur est un ainé, c'est-à-dire un étudiant d’un palier supérieur à celui du tutoré. Dans ce cas, ce dernier se contente beaucoup plus d’écouter et de suivre le cheminement proposé par le tuteur, en faisant au besoin, des rapprochements avec la méthode utilisée par l’enseignant. Dans une autre situation, on peut avoir deux élèves de la même classe, mais dont l’un est le tuteur de l’autre. Dans ce cas, le cheminement est bien différent de la première situation, dans laquelle le tutoré joue plutôt un rôle plus passif. Ici, on assiste à un véritable échange entre les deux personnes d’apparence égale.

Type de regroupement des apprenants

Dans un processus de tutorat en peut retrouver différents types de regroupement. On peut y retrouver des scénarios où les tuteurs seront assignés à des élèves de façon provisoire ou sur une plus longue durée pour ainsi aider des jeunes en difficulté qui ont besoin d’aide à compléter l'enseignement reçu dans le cadre scolaire. Le tutorat peut se faire individuellement (face-à-face) ou en petits groupes.

Selon Deschênes (2001), le tuteur devra jouer auprès de ces élèves le rôle d’une personne ressource et de facilitateur en relations interpersonnelles. Il devra également être en mesure de créer un environnement de parité entre lui et son tutoré, de façon à l’encourager, à le stimuler, à le motiver, etc. Le travail effectué pendant les séances de tutorat peut se diviser en deux catégories : travail sur la matière principale (devoirs de maison, sujets d’étude ou exercices préparés) et d’autres activités d’apprentissage qui aideront les élèves à devenir des apprenants compétents.

Milieu d’intervention

Le tutorat est une pratique que l’on observe de plus en plus dans tous les niveaux d’apprentissage, de la maternelle au milieu de travail, en passant par le secondaire et le supérieur. Dans des universités le principe de chargé de travaux dirigés est une forme de tutorat par les pairs.

Conseils pratiques

La réussite d’un processus de tutorat par les pairs ne dépend pas seulement des conditions citées plus haut dans ce travail, mais surtout d’ un suivi régulier des activités du tuteur et de son élève par une personne plus avisée, comme un enseignant qualifié dans une discipline par exemple. Cette stratégie permet d’éviter les égarements et surtout de donner raison à ceux-là qui disent du tutorat, voire du tuteur comme des « profs au rabais ».


Ressources informationnelles utilisées dans la fiche

Ici figurent toutes les ressources informationnelles qui ont été lues et utilisées par les contributeurs successifs pour rédiger la fiche. Ces ressources ont être puisées dans celles qui ont été pré-déterminées ci-dessous, dans la section : Ressources informationnelles disponibles. Toutefois, chaque contributeur peut choisir d'utiliser d'autres ressources, du moment qu'elles sont pertinentes pour la thématique traitées, crédibles et présentent un contenu de qualité. Les références utilisées doivent être placées dans la bonne section : soit dans la bibliographie (articles, livres, chapitres) soit dans la webographie (ressources électroniques diverses, cependant les articles des revues électroniques ou des chapitres publiées en ligne doivent être placées dans la bibliographie).

Bibliographie

Placez dans cette section les articles des revues (y compris les revues en ligne, les livres ou les chapitres de livres (y compris ceux qui sont disponibles en ligne). Indiquez l'hyperlien si possible. Citez vos ressources selon les normes APA. Pour ce faire, utilisez le guide suivant : Couture, M. (2013, mise à jour). Adaptation française des normes bibliographiques de l'APA. Récupéré du site http://benhur.teluq.uqam.ca/~mcouture/apa/Auteurs.htm

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McGarr, O., Marie Clifford, A. ‘Just enough to make you take it seriously’: exploring students’ attitudes towards peer assessment. High Educ , 2013


Soucy, N., Duchesne, S. et Larose, S. Le tutorat maître-élève et le tutorat par les pairs: Deux mesures d’aide individualisée au collégial. Pédagogie collégiale, vol. 13, no 4, p. 11-37. -- N° Repère: A063967, mai 2000.

Teuscth, P., Bourdet, J.F., Gueye, O. Perception de la situation d’apprentissage par le tuteur en ligne. LIUM-CNRS FRE 2730, Laboratoire d’Informatique de l4université du Maine. Qvenue Olivier Messiaen, 72085 Le Mans cedex9, France, 2004.

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Webographie

Placez dans cette section des ressources informationnelles complémentaires disponibles sur le web. Chaque ressources doit être décrite brièvement.Indiquez l'hyperlien (bien évidemment)et la date de consultation. Tâchez de citer vos ressources selon les normes APA. Pour y parvenir, utilisez le guide du professeur Couture, notamment cette section du guide en ligne : Couture, M. (2013, mise à jour). Adaptation française des normes bibliographiques de l'APA. Récupéré du site http://benhur.teluq.uqam.ca/~mcouture/apa/docsweb.htm

-Le tutorat par les pairs : quels fondamentaux, quels dispositifs, quels résultats ? [archive] Le tutorat par les pairs, De Boeck (Ed.) (2010)Forum du Tutorat de la faculté de médecine de Bordeaux 2 [archive] -Smidts, D., Braibant, J-M., Wouters, P., de Theux, M-N. Un outil audiovisuel pour former les tuteurs en pédagogie active [archive]. in Actes du 2ième colloque ENSIETA et ENST Bretagne, Brest, juin 2003. -Article en anglais intitulé « Using Peer Teaching in the Classroom» issu du site web Colorado State University présentant les différentes techniques de l’enseignement en classe par les pairs. Repéré àhttp://teaching.colostate.edu/tips/tip.cfm?tipid=180. -Vidéo en anglais présentant la stratégie de l’enseignement par les pairs. TurningTechCanada (2011). 3 Peer Instruction [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=766gR4W9_Aw

Ressources informationnelles disponibles pour rédiger et améliorer la fiche

Ici figurent les références sélectionnées sur la stratégie dont traite la fiche et, éventuellement, des sujets plus généraux mais liés de près à la thématique de la fiche. Si vous utilisez ces ressources pour rédiger votre contribution, vous devez les citer dans votre texte et, de plus, les déplacer dans la section " Ressources informationnelles utilisées". Vous pouvez aussi, comme tout autre contributeur au Wiki-TEDia, ajouter ici toutes les ressources informationnelles que vous connaissez, que vous avez trouvées sur le web ou en lisant d'autres écrits, même si vous les utilisez pas. Cette section fait donc office de veille sur la thématique couverte par la fiche. Veillez à placer les ressources proposées dans la bonne section : soit dans la bibliographie (articles, livres, chapitres) ou dans la webographie (ressources électroniques diverses, cependant les articles des revues électroniques ou des chapitres publiées en ligne doivent être placées dans la bibliographie).

Bibliographie

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Webographie

Dans cette section figurent des ressources informationnelles complémentaires disponibles sur le web. L'hyperlien doit être indiqué, de même que la date de consultation. Les ressources doivent être citées selon les normes APA. Pour cela, utilisez le guide du professeur Couture, notamment cette section du guide en ligne : Couture, M. (2013, mise à jour). Adaptation française des normes bibliographiques de l'APA. Récupéré du site http://benhur.teluq.uqam.ca/~mcouture/apa/docsweb.htm

  • Vidéo en anglais recueillant des témoignages d’étudiants qui ont vécu la stratégie du tutorat par les pairs.
BCITLibrary (2012). Peer tutor testimonials [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=934qUywUNX0
  • Entrevue en anglais du Pr. Eric Mazur sur l’enseignement par les pairs et son expérience à l’université de cette stratégie.
CockrumVideos (2013). Flipped Learning #53: Peer Instruction with Eric Mazur [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=PwHfM0jL2gY
  • Article en anglais intitulé « Using Peer Teaching in the Classroom» issu du site web Colorado State University présentant les différentes techniques de l’enseignement en classe par les pairs. Repéré à http://teaching.colostate.edu/tips/tip.cfm?tipid=180
  • Vidéo en anglais présentée par le Pr. David Dye expliquant la stratégie de l’enseignement par les pairs et comment l’appliquer dans un cours.
David Dye (2012). 1.2 | MSE104 - What is Peer Instruction? [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=e9IT7BTBJgY
  • Ce document en français décrit une expérience de tutorat ainsi que ses bénéfices.
Liatard, B. (2005). Une expérience de tutorat par les pairs. Non-Violence Actualité. Repéré à http://www.mediacteurs.com/tutorat%20NVA%20280.pdf
  • Présentation Powerpoint en anglais contenant une explication du tutorat par les pairs, ainsi que des exemples de bonnes et mauvaises pratiques sous format vidéo.
missllab (2012). Peer Tutor Training - Cochise College, Douglas campus 06/2012 [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=loLRrxSai18
  • Cette vidéo en anglais présente deux scénarios : un des mauvaises pratiques et un autre des bonnes pratiques du tutorat entre pairs.
nooluoit (2011). The DOs and DONTs of Peer Tutoring [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=DvQ982Cw4uw
  • Vidéo en anglais où Cynthia Lee, chargée de cours, explique l’enseignement par les pairs à l’université et de quelle manière elle l’applique en cours.
UCSDACMS (2013). Peer Instruction - An Introduction [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=I_7L0tOl4v4
  • Atelier en anglais présenté par le Pr. Eric Mazur sur les différentes technologies pouvant être utilisées lors de la stratégie de l’enseignement par les pairs.
UNILTV (2012). Eric Mazur - Catalyzing Learning Using Peer Instruction and Learning Catalytics (Workshop) [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=bdor83ZVgEc
  • Vidéo en anglais présentant la stratégie de l’enseignement par les pairs.
TurningTechCanada (2011). 3 Peer Instruction [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=766gR4W9_Aw