Différences entre versions de « Tutorat (enseignement) par les pairs »

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* Vidéo en anglais présentant la stratégie de l’enseignement par les pairs. TurningTechCanada (2011). 3 Peer Instruction [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=766gR4W9_Aw
 
* Vidéo en anglais présentant la stratégie de l’enseignement par les pairs. TurningTechCanada (2011). 3 Peer Instruction [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=766gR4W9_Aw
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* Document: ''L'enseignement par les pairs, une méthode pédagogique qui rapporte!'' Université Laval. Repéré en ligne à:  https://www.youtube.com/watch?v=-euhx_rIFPA
  
 
==Références bibliographiques==
 
==Références bibliographiques==

Version du 17 janvier 2022 à 22:19

Avertissement : cette fiche devrait être fusionnée avec la fiche [[Apprentissage assisté par les pairs]].

Appellation en anglais

Peer learning, peer tutoring, cross-aged tutoring, en fonction du type d’accompagnateur et de son degré d’intervention.

Résumé introductif

Le tutorat (enseignement par les pairs) est une approche pédagogique qui consiste à jumeler un apprenant, qui a atteint les objectifs d’un cours, à venir en aide à un ou des apprenants qui ont de la difficulté à atteindre l’objectif de ce cours.

Il faut cependant que l’enseignant qui utilise cette stratégie soit certain que le tuteur ait bien acquis les connaissances qu’il doit superviser.

Cette stratégie peut être considérée comme une relation d’aide (Chamberland, Lavoie, Marquis 2006). Cette microstratégie permet non seulement de venir en aide aux apprenants ayant de la difficulté, mais permet aussi aux tuteurs de mettre en pratique et d’approfondir les connaissances acquises (Chamberland, Lavoie, Marquis 2006).

Le tutorat peut être utilisé en présentiel, mais aussi avec les technologies disponibles, par exemple la vidéo, pour produire des tutoriels en ligne. De plus, cette microstratégie peut être utilisée autant dans le monde du travail que dans le milieu scolaire.

Pour que le tutorat soit efficace, il faut que l’enseignant choisisse soigneusement le tuteur, il est à noter que le choix du tuteur ne doit pas seulement tenir compte des résultats de celui-ci, mais aussi de sa facilité à transmettre ses savoirs. Il est nécessaire que le tuteur et le tutoré développent une certaine complicité (Chamberland, Lavoie et Marquis, 2006). L’enseignant doit expliquer clairement aux deux parties quels sont les buts et les objectifs de la stratégie, il devra intervenir seulement s’il doit réguler certains aspects des apprentissages visés (Chamberland, Lavoie et Marquis, 2006).

Stratégies apparentées

Tutorat à distance, tutorat en ligne, tutorat enseignant-élève, tutorat apprenti-ainé.

Type de stratégie

Le tutorat par les pairs est une microstratégie.

Types des connaissances

Le tutorat dans son ensemble est une stratégie qui ne se limite pas seulement dans le cadre scolaire ou universitaire. Dans bien de domaines de la vie pratique, le tutorat est un exercice courant. Même dans les sociétés primitives, le tutorat a toujours été le moyen le plus efficace de transmission de connaissances d’une génération à l’autre. Les jeunes en copiant les actes de leurs ainés, et en se faisant corriger par ceux-ci, étaient en plein dans la pratique du tutorat. Dans les sociétés modernes, tout est un peu plus formalisé, et même des cadres juridiques sont définis pour contrôler et orienter le déroulement et la pratique du tutorat. Les pratiques ne concernent plus seulement les moyens de lutte pour la survie comme par le passé, mais englobent l’ensemble des savoirs et des connaissances pouvant être appris. De la science la plus élémentaire à la connaissance philosophique la plus complexe, toute forme de savoir peut se prêter à la pratique du tutorat, à la seule condition de réunir tous les éléments nécessaires à sa réalisation. Si l’on regarde seulement le domaine scolaire par exemple, on se rend compte que le tutorat n’épargne aucune discipline. Des sciences à la littérature en passant par les arts et technique, aucun élément ne mérite une attention moindre, tant qu’il y aurait des apprenants qui se trouvent en difficulté. Dans le système éducatif québéquois en particulier, où la recherche de l’excellence est une quête permanente, bien d’établissements scolaires et postsecondaires recourent à la pratique du tutorat. Un des nombreux exemples qui nous ont marqués c’est le Collège Dawson, qui a su mettre sur pied une pratique de tutorat dont les résultats sont des plus éloquents. Dans le souci d’améliorer les performances des élèves en difficulté, cet établissement scolaire offre des cours spécifiques aux personnes qui en ont le plus besoin, c'est-à-dire les élèves en difficulté. Ce programme de tutorat est entièrement organisé par l’administration de l’établissement à travers ses différentes structures. Le principe ici est très simple. On définit d’abord les matières dans lesquels les élèves ont le plus souvent de difficultés et les pose en priorité. Par la suite, on procède à un recrutement au sein même de l’établissement des apprenants dont les performances scolaires et disciplinaires peuvent servir d’exemple pour les autres. Puis on fait passer un test de connaissances aux différents candidats et on détermine pour finir qui sont les futurs tuteurs. Après la phase de sélection, on apparie chaque tuteur à un élève, en fonction du nombre de demandes exprimées. Les tuteurs ainsi choisi vont visionner un module dans lequel sont expliqués de façon théâtrale les rôles et attributions du tuteur. Les tuteurs sont parrainés par les enseignants des disciplines dans lesquels ils doivent intervenir. Ils reçoivent alors de ces derniers des conseils pour rendre plus efficaces leurs actions. Cette méthode permet au tuteur non seulement d’enseigner, mais aussi et surtout d’apprendre davantage sur ce qu’il est censé dispensé comme enseignement. La grande particularité de la pratique du tutorat au Collège Dawson est le fait que le tuteur reçoit une rémunération conséquente égale au salaire minimum, dont une partie est supportée par le tutoré à hauteur de deux dollars par heure.

Description

Conditions favorisant l’apprentissage

Il y a des facteurs qui facilitent le processus de tutorat, tout comme il y en a qui en sont de véritables freins. On pourrait citer entre autres éléments de compatibilité dans un processus de tutorat par les pairs, la proximité entre le tuteur et le tutoré. Le fait que les deux acteurs appartiennent à la même sphère et dont côtoyant le même environnement physique crée un sentiment de complicité entre les deux entités. La différence d’âge n’étant généralement pas très grande comme ce pourrait être le cas dans une situation de tutorat enseignant/élève, les échanges et les discussions sont plus détendus et le tutoré peut poser même des questions qu’il n’oserait pas dans une autre situation. Joan Gaustad (1993) résume cela en ces termes: « One-to-one tutoring has long been recognized as superior to group instruction, especially for students with special needs. Tutoring can adapt instruction to the learner's pace, learning style, and level of understanding. Feedback and correction are immediate. Basic misunderstandings can be quickly identified and corrected, practice provided, and more difficult material introduced as soon as the student is ready. » Comme obstacles au développement d’un processus de tutorat, on peut citer l’incompatibilité d’humeur entre les différents acteurs, les contraintes administratives comme par exemple l’affectation a cheque tuteur d’un cadre adéquat dans lequel il pourrait s’exercer. En France par exemple, le tutorat fait l’objet de vives critiques dans les milieux universitaires et scolaires, dans lesquels les tuteurs sont catalogués comme étant des « profs au rabais » (Bachelet, 2011). En dehors du Dowson College que j’ai cité plus haut comme exemple palpable de réussite de la méthode de tutorat par les pairs, on pourrait également en citer d’autres comme la Coca-Cola Value Youth Program (VYP) qui a été développé aux Etats-Unis par l’Association pour la Recherche du Développement Interculturel(IDRA), et dont le but était de donner des chances égales aux apprenants d’origine hispanique, qui constituent des populations à risque pour la communauté américaine. Pour ce faire, chaque élève en difficulté devait se faire assister par un tuteur sélectionné parmi les meilleurs élèves de chaque école où le programme devait se tenir, et à qui une brève formation a été donnée dans le but de les aider à mieux gérer la communication et les relations interpersonnelles avec leurs tutorés. Ces tuteurs devaient également bénéficier de la gratuité des frais de scolarité. Des exemples peuvent être cités à profusion.

Selon John Hattie, l’efficacité du tutorat par les pairs sur l’acquisition de connaissances chez l’apprenant est de 0,53, ce qui est considéré comme étant une influence relativement moyenne (Corwin, 2018).

Niveau d’expertise des apprenants

Le tutorat par les pairs ne concerne pas seulement les apprenants débutants dans un domaine précis. On peut rencontrer des situations dans lesquelles le besoin d’un tuteur pour un élève se fait ressentir dès les débuts de sa formation, tout comme un autre peut s’avérer indépendant en tout début et qu’en cours de formation, on éprouve la nécessité de lui allouer un tuteur, parce-que ses aptitudes à être autonome sont devenues insuffisantes. De toutes les façons, le rôle du tuteur sera celui de le rendre le plus autonome possible. Il convient de préciser que pour une bonne réussite d’un programme de tutorat, il faut d’abord évaluer le degré de difficulté des élèves concernés. Cette tâche incombe à l’enseignant même chargé de cet élève ou de la discipline concernée et non pas au tuteur, qui, ne l’oublions pas, est avant tout un autre élève. Lorsque le problème ou la difficulté d’un apprenant a été identifiée, le rôle du tuteur est de mettre un accent particulier sur cet élément. L’enseignant quant à lui joue le rôle de superviseur et doit s’assurer que l’évolution du tutoré est palpable. Dans le cas contraire, il doit revoir avec le tuteur ce qu’il y a lieu de faire pour atteindre les objectifs fixés. Il est également de bon ton de préciser que le tutorat est un programme par objectifs, dans lequel le tuteur doit remplir un cahier de charges en fonction des difficultés de l’élève. De façon plus concrète, si l’on a affaire à des élèves ayant des difficultés en français par exemple, on ne dira pas à un tuteur de lui venir en aide en français. Ce serait un tâche immense pour celui qui comme son tutoré est également un apprenant. L’enseignant se chargera d’abord d’identifier sur quel élément du français le tuteur doit travailler. Il s’agit ici d’un processus de segmentation de la difficulté, au point de ne se concentrer que sur l’élément même qui cause le problème, ceci permet d’apporter des réponses efficaces et plus efficientes.

Type de guidage

Dans une situation de tutorat par les pairs, on pourrait envisager deux types de guidages. Dans un premier temps, on assiste à une situation dans laquelle le tuteur est un ainé, c'est-à-dire un étudiant d’un palier supérieur à celui du tutoré. Dans ce cas, ce dernier se contente beaucoup plus d’écouter et de suivre le cheminement proposé par le tuteur, en faisant au besoin, des rapprochements avec la méthode utilisée par l’enseignant. Dans une autre situation, on peut avoir deux élèves de la même classe, mais dont l’un est le tuteur de l’autre. Dans ce cas, le cheminement est bien différent de la première situation, dans laquelle le tutoré joue plutôt un rôle plus passif. Ici, on assiste à un véritable échange entre les deux personnes d’apparence égale.

Dans la méthode de tutorat par les pairs, les élèves tuteurs fournissent une aide stratégique aux élèves qui éprouvent des difficultés légères d’apprentissage. Par exemple, dans une classe ordinaire qui intègre des élèves immigrants allophones et des apprenants en difficulté d’apprentissage, il va sans dire que ces derniers ne bénéficient pas du soutien linguistique de leurs parents. Ils ne maitrisent pas ou maitrisent moins le français. L’enseignant utilisera donc le « tutorat par les pairs » pour faciliter l’apprentissage de ses élèves et maximiser leur chance de réussir leur intégration scolaire et sociale. « Ce qui a surpris le plus, cependant, c’est le fait que cette stratégie comporte aussi des avantages pour les élèves tuteurs. Par exemple, plusieurs études recensées avaient permis de découvrir que des élèves faibles en lecture faisaient des progrès remarquables après avoir travaillé avec des élèves plus jeunes. Depuis, d’autres synthèses sur le sujet ont confirmé ces résultats. » (Monique Bournot-trites, Elisabeth Lee et Jérémie Séror, http://www. Erudit.org/revue/ RSE/2003/v29/n1/009498ar.html) Grâce à la méthode de tutorat par les pairs, les élèves se sont, non seulement, entraidés, mais aussi ils ont réussi à aider des enseignants à mieux comprendre le processus d’apprentissage relatif à la lecture. En effet, la relation entre tuteur et tutoré peut déboucher sur une magnifique expérience éducative. L’élève tuteur est quelqu’un dont l’attention est particulièrement portée sur l’élève avec qu’il travaille. Il s’assure que l’élève ne manque de rien pour acquérir et s’approprier les notions afin de progresser dans ses apprentissages. Les rayons d’action des tuteurs ont tendance à s’étendre de plus en plus, mais l’aide est au cœur de l’activité tutorale. Aider à apprendre, aider à maitriser (ou à se familiariser avec la langue du pays d’accueil), aider à s’intégrer dans une nouvelle culture, etc.

Type de regroupement des apprenants

Lors du tutorat par les pairs, il importe de "jumeler les élèves ayant un profil compatible", c'est à dire que la personnalité des apprenants doit être prise en compte, ainsi que leur style d'apprentissage, leur âge, leur niveau, leurs connaissances antérieures, etc. En effet, le côté affectif est à prendre en compte étant donné que chez les apprenants de tous âges le travail avec les pairs peut "engendrer des conflits lorsque les rôles et les tâches de chacun ne sont pas clairs ou mal compris" (Leroux et Paré, 2016). Lors du tutorat par les pairs, les dyades formées doivent être de niveaux de compétences hétérogènes afin qu'un élève soit considéré comme l'expert.

Dans un cours de français, durant le premier mois de l’école, l’enseignant choisira ses tuteurs en les jumelant aux tutorés selon le critère d’habiletés en lecture, clarté et vitesse de prononciation, etc. Nous partageons l’opinion de Cloward (1976 cité par Monique, Elisabeth et Jérémie, 2003) selon laquelle « il n’est pas nécessaire d’imposer un haut niveau académique et intellectuel pour la sélection des tuteurs ». Les critères concernant l’âge et le sexe différent ne constituent pas des inconvénients dans la formation des paires. Les enfants sont tous de la même classe (par exemple,3e année ou 4e année). Ils ont approximativement le même âge. Un camarade de 1 à 2 ans plus âgé peut avoir une bonne relation avec ses pairs. Par exemple, Au début de chaque leçon de français, l’enseignant expliquera l’activité de tutorat par les pairs. Il supervisera constamment le travail des tuteurs, et lorsqu’un tuteur et son élève terminent une séquence de l’activité, une évaluation informelle sera faite par l’enseignant pour déterminer si l’élève peut passer à la prochaine étape. C’est une façon efficace d’améliorer le niveau de lecture des élèves en difficulté. Une fois les mécanismes de lecture acquis, le processus d’apprentissage sera déterminant. Cette expérience aura des effets positifs sur les attitudes, la motivation des élèves envers la lecture et sur leur estime de soi. Les tuteurs seront jumelés aux tutorés en fonction de l’exactitude de leur lecture, de la clarté de la prononciation et de la vitesse de lecture. Mais cela ne veut pas dire que les tuteurs seront de bons ou d’excellents lecteurs. En outre, bien que certains enfants préfèrent travailler avec un partenaire du même sexe, la formation de groupes mixtes n’aurait pas d’effets négatifs sur les apprenants. La compétence relative entre le tuteur et son élève est plus importante que les facteurs liés au sexe et à l’âge des élèves ou aux autres caractéristiques des tuteurs. Cloward (1976 cité par Monique, Elisabeth et Jérémie, 2003) a pris soin d’observer, par rapport à l’apprentissage de la lecture, l’efficacité de bons lecteurs ou de lecteurs faibles recrutés comme tuteurs. Les premiers ne sont pas à l’origine de progrès plus importants chez les tutorés que les seconds. D’où la conclusion à laquelle aboutit l’auteur : « Il n’est pas nécessaire d’imposer un haut niveau académique et intellectuel pour la sélection des tuteurs ». Parce qu’un bon lecteur est moins bien placé pour comprendre les problèmes rencontrés par ce type de tutorés qu’un lecteur qui les a lui-même vécu. Étant « passé par là », le second dispose d’une expérience précieuse qui manque au premier. Telle est l’interprétation le plus couramment admise. En conséquence, lorsqu’il est question d’engager des tuteurs à l’intérieur d’une classe, le choix des meilleurs éléments n’est pas obligatoirement le plus judicieux. Bref, ce n’est pas l’âge ni l’expérience scolaire ni l’excellence scolaire qui constitueront le critère sur lequel le choix des tuteurs sera fait. C’est juste, par exemple, le niveau d’habileté en lecture qui sera pris en compte lors de la sélection des tuteurs dans un cours de français. Ceux-ci sont supposément détenteurs d’assez de compétences scolaires leur permettant d’apporter ce dont leurs tutorés ont besoin : aide, soutien, assistance, etc. Les tuteurs auront donc pour mission de familiariser les tutorés (élèves immigrants allophones intégrés dans la classe ordinaire) avec la nouvelle langue et de les aider à la maitriser. Ces enfants de minorités ethniques rencontrent des difficultés à cause de leur manque de maitrise du français. Ils seront alors pris en charge par des enfants confirmés pour des activités de lecture et échangeront progressivement dans la langue d’enseignement avec les tuteurs.

Milieu d’intervention

Le tutorat est une pratique que l’on observe de plus en plus dans tous les niveaux d’apprentissage, de la maternelle au milieu de travail, en passant par le secondaire et le supérieur. Dans des universités le principe de chargé de travaux dirigés est une forme de tutorat par les pairs.

Conseils pratiques

La réussite d’un processus de tutorat par les pairs ne dépend pas seulement des conditions citées plus haut dans ce travail, mais surtout d’ un suivi régulier des activités du tuteur et de son élève par une personne plus avisée, comme un enseignant qualifié dans une discipline par exemple. Cette stratégie permet d’éviter les égarements et surtout de donner raison à ceux-là qui disent du tutorat, voire du tuteur comme des « profs au rabais ».

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Veille informationnelle (ressources disponibles pour améliorer la fiche)

  • Se former à la relation d'aide par les pairs. Ressources, démarche et documents pédagogiques élaborés par le Centre collégial de développement de matériel didactique (CCDMD) en collaboration avec le cégep de Saint-Laurent. En ligne : http://tutorat.ccdmd.qc.ca/page/documents-pedagogiques
  • Tutorat par les pairs - Conférence prononcée par la professeure Cathia Papi lors du séminaire 10 ans de T@D, le portail de tutorat à distance, 24 octobre 2013 (voir aussi la référence bibliographique sur le livre de cette chercheure plus haut). Répéré à https://www.youtube.com/watch?v=CPQRgx-pJ18
  • Vidéo en anglais recueillant des témoignages d’étudiants qui ont vécu la stratégie du tutorat par les pairs.
BCITLibrary (2012). Peer tutor testimonials [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=934qUywUNX0
  • Entrevue en anglais du Pr. Eric Mazur sur l’enseignement par les pairs et son expérience à l’université de cette stratégie.
CockrumVideos (2013). Flipped Learning #53: Peer Instruction with Eric Mazur [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=PwHfM0jL2gY
  • Article en anglais intitulé « Using Peer Teaching in the Classroom» issu du site web Colorado State University présentant les différentes techniques de l’enseignement en classe par les pairs. Repéré à http://teaching.colostate.edu/tips/tip.cfm?tipid=180
  • Vidéo en anglais présentée par le Pr. David Dye expliquant la stratégie de l’enseignement par les pairs et comment l’appliquer dans un cours.
David Dye (2012). 1.2 | MSE104 - What is Peer Instruction? [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=e9IT7BTBJgY
  • Ce document en français décrit une expérience de tutorat ainsi que ses bénéfices.
Liatard, B. (2005). Une expérience de tutorat par les pairs. Non-Violence Actualité. Repéré à https://en.calameo.com/books/00321364880934ff6470d
  • Présentation Powerpoint en anglais contenant une explication du tutorat par les pairs, ainsi que des exemples de bonnes et mauvaises pratiques sous format vidéo.
missllab (2012). Peer Tutor Training - Cochise College, Douglas campus 06/2012 [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=loLRrxSai18
  • Cette vidéo en anglais présente deux scénarios : un des mauvaises pratiques et un autre des bonnes pratiques du tutorat entre pairs.
nooluoit (2011). The DOs and DONTs of Peer Tutoring [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=DvQ982Cw4uw
  • Vidéo en anglais où Cynthia Lee, chargée de cours, explique l’enseignement par les pairs à l’université et de quelle manière elle l’applique en cours.
UCSDACMS (2013). Peer Instruction - An Introduction [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=I_7L0tOl4v4
  • Atelier en anglais présenté par le Pr. Eric Mazur sur les différentes technologies pouvant être utilisées lors de la stratégie de l’enseignement par les pairs.
UNILTV (2012). Eric Mazur - Catalyzing Learning Using Peer Instruction and Learning Catalytics (Workshop) [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=bdor83ZVgEc
  • Vidéo en anglais présentant la stratégie de l’enseignement par les pairs.
TurningTechCanada (2011). 3 Peer Instruction [Vidéo en ligne]. Repéré à http://www.youtube.com/watch?v=766gR4W9_Aw