Discussion:Dialogue socratique
Historique des modifications de la catégorisation de la fiche
Indiquer ici tout changement de la sous-catégorie de la fiche, dans l'ordre antéchronologique (le plus récent en haut) selon le format suivant :
Nouveau statut : nom de la sous-catégorie (par ex. à commenter) + signature automatique. Au besoin, inscrire les motifs de cette modification.
Avancée : j'ai modifié le statut de cette fiche vers "avancée", étant donné son degré d'avancement.--Béatrice Pudelko (discussion) 1 novembre 2016 à 21:30 (EDT)
À compléter: --Vcastonguay 2 avril 2016 à 13:27 (EDT) Étant donné l'historique de cette fiche, je crois qu'elle peut être versée à cette catégorie. Cela permettra de nouvelles améliorations de la part d'autres contributeurs.
Aussi, étant qu'aucune catégorie n'avait été à ce jour sélectionnée, suite à une lecture attentive de la fiche, j'ai complété la catégorisation pour les divers éléments de la fiche. Et429498--Vcastonguay 2 avril 2016 à 13:39 (EDT)
Évaluation globale
Inscrire ici vos commentaires généraux sur la fiche.
- J'ai ajouté des informations dans "appellation en anglais, description et bibliographie" afin que l'on commence à compléter cette fiche car il est question du dialogue socratique dans la cas résolu A de TED 6210. - I. Carreau --Et415795 (discussion) 19 mai 2015 à 08:28 (EDT)
- J'ai lu avec attention et beaucoup d'intérêt la dernière version de cette fiche. Je trouve que la description est très claire, et répond de façon précise aux questions des différentes sections. Le travail de la dernière contributrice Et017373 a amélioré considérablement la fiche sur plusieurs aspects. Je propose quelques commentaires détaillés ci-dessous.--Béatrice Pudelko (discussion) 1 novembre 2016 à 21:30 (EDT)
- Aussi, il faudrait porter attention à "wikifier" la fiche, en introduisant des hyperliens vers les autres parties du wiki-TEDIa lorsque cela est possible et pertinent.--Béatrice Pudelko (discussion) 1 novembre 2016 à 21:43 (EDT)
Que pensez-vous de l'allure globale de cette version de la fiche ? Avant de rédiger le résumé introductif, j'ai réorganisé plusieurs blocs d'informations quelque peu "éparpillés". J'ai préservé toute l'information de la version précédente, bien que je trouve qu'il y ait encore un peu trop de répétitions (trop de phrases qui disent la même chose). Je comprends que de nombreuses contributions ont été faites suivant le cas résolu A du travail noté 2. Toutefois, je conseillerais aux wiki-collaborateurs de bien lire toute la fiche avant d'ajouter leur grain de sel (pour éviter la désorganisation et la répétition du contenu dans une fiche). En "wikifiant" la fiche, cela a ajouté des repères qui pourraient éventuellement aider pour un futur ménage d'épuration du contenu. --François (discussion) 19 mai 2021 à 09:43 (EDT)
Commentaires détaillées par section
Appellation en anglais
Stratégies apparentées
Je me demande, étant donné la description ci-dessous, dans quelle mesure on peut considérer que le dialogue socratique est apparenté à l'étayage ? La description de l'étayage (scaffolding) est à améliorer dans le wiki, mais on peut proposer qu'il s'agit, pour l'enseignant ou pour les pairs de soutenir (comme un échafaudage soutien un immeuble en construction) un apprenant dans une tâche jusqu’à ce qu’il soit capable de l’accomplir seul. Cependant, cette métaphore ne doit pas laisser suggérer que l’apprenant est inactif dans ce processus : l’apprenant doit de son côté construire et reconstruire ses connaissances à partir de l’assistance qui lui est fournie afin d’en arriver éventuellement à accomplir une tâche de façon autonome. En effet, la responsabilité de l’apprentissage, au départ du ressort du "plus expert" qui prend en charge les aspects de la tâche qui sont au-delà des capacités de l’apprenant, doit progressivement être basculée vers l’apprenant. Si l'on peut considérer que les deux stratégies sont apparentées, alors le dialogue socratique précède la fameuse "zone proximale (prochaine) de développement" proposée par Vygotski !--Béatrice Pudelko (discussion) 1 novembre 2016 à 21:30 (EDT)
Je pense que le dialogue socratique s'apparente à l'étayage dans le sens ou les deux microstratégies permettent à l'enseignant d'assister l'apprenant sans lui apporter une aide toute prête. J'utilise une analogie ici : au lieu de mâcher le biscuit pour un enfant, on le lui donne et on l'oriente pour savoir comment le mâcher. De telle sorte, le dialogue socratique oriente l'apprenant vers des interrogations pertinentes qui lui permettront de développer un processus cognitif, tout comme l'étayage qui aiguille les apprenants pour prendre le bon chemin vers l'acquisition des nouvelles connaissances. Hasnaâ ELKHADIRI (discussion) 24 Octobre 2021 à 18:16 (EDT)
Je pense qu'une bonne partie de ce texte serait davantage à sa place dans le résumé introductif. --Mélanie St-Jean (discussion) 28 mars 2021 à 17:22 (EDT)
- Je suis bien d'accord avec Mélanie et je me charge du résumé introductif. --François (discussion) 18 mai 2021 à 17:33 (EDT)
- En comparant avec les autres stratégies de type Modèle, je constate qu'il y a - à faire - une importante tâche de re-catégorisation des informations dispersées en différentes sections ... pour synthétiser efficacement le tout et rédiger un résumé introductif structuré, il me semble que je dois procéder ainsi. --François (discussion) 18 mai 2021 à 17:37 (EDT)
Type de stratégie
Cette stratégie est du type Modèle, car elle vise en premier lieu le découpage et l’ordonnancement du contenu d’enseignement.
Type de connaissances
Le déplacement d'une partie de cette section vers "description" a été une bonne décision. Cependant, une partie du contenu existant s'est "perdue" suite à ce déplacement (à moins d'une erreur de ma part). Il s'agit du texte suivant, que je trouve très pertinent, car il explique bien l'essence du "dialogue socratique". Ne devrait-on pas le réintroduire ? Il s'agit du passage suivant (on le trouve dans l'historique des modifications, en date du 26 octobre 2016) :
- La discussion, mais pas n’importe quelle, est ainsi la clé de cette méthode. Cette discussion s’appuie sur des questions orientées qui impliquent des réponses dialectiques. Autrement dit, l’usage du questionnement en pédagogie ne signifie pas forcément le dialogue socratique. C’est un dialogue particulier qui comporte un certain nombre d’éléments clés (Schiller, id.). Il débute avec une opinion ou une affirmation faite par l’apprenant. L’enseignant intervient par la suite en posant des questions qui orientent l’apprenant vers une réflexion critique portant sur l’opinion qu’il a préalablement formulée. En répondant à ces questions, l’apprenant identifie certaines incohérences dans son raisonnement; il les corrige et améliore ses réponses, aboutissant ainsi à une opinion différente de la première. Cette opinion se distingue de la première en ce qu’elle découle d’un examen critique. --Béatrice Pudelko (discussion) 1 novembre 2016 à 21:30 (EDT)
- Seules les 2 premières phrases ont été supprimées. Le reste apparaît dans le 1er paragraphe de la section "Quelques composantes clés..." de la rubrique <Description>. --Nicole Morf (discussion) 2 novembre 2016 à 13:20 (EDT)
Effectivement, ce ne sont que les deux premières phrases qui ont été supprimées. Il me semblait (et me semble toujours) qu'elles apportent peu au texte compte-tenu de ce qui a déjà été écrit avant. D'abord, ces phrases me semblent en soi se répéter entre elles et sont peu précises: "La discussion, mais pas n’importe quelle, est ainsi la clé de cette méthode. Cette discussion s’appuie sur des questions orientées qui impliquent des réponses dialectiques. Autrement dit, l’usage du questionnement en pédagogie ne signifie pas forcément le dialogue socratique". Aussi, l'idée que la dialogue socratique consiste en une discussion orientée par des questions particulières a déjà été mentionnée une première fois dans la section précédente "stratégies apparentées": "Elle consiste en un questionnement qui favorise chez l’interlocuteur la naissance des idées dont il serait porteur". Un peu plus loin, dans "type de connaissance" on dit: "Le dialogue socratique, par des questions dirigées, amène l’apprenant du point A (le moins complexe) au point B (le plus complexe)". Encore un peu plus loin, on dit: "C’est une stratégie qui s’appuie sur l’interrogation et dont le but est d’amener un interlocuteur à prendre conscience de ce qu’il sait implicitement, à l’exprimer et à le juger". Et on définit la stratégie comme "toute technique philosophique qui vise la vérité à travers une discussion analytique". Donc quand on arrive à la section "Quelques composantes-clé" de la rubrique "description", nous savons déjà que c'est une stratégie qui est basée sur une discussion orientée par des questions particulières. Ce qui a été gardé dans la description me semble comporter les éléments essentielles: "Le dialogue socratique est donc un dialogue particulier qui comporte un certain nombre d’éléments clés (Schiller, id.). Il débute avec une opinion ou une affirmation faite par l’apprenant. L’enseignant intervient par la suite en posant des questions qui orientent l’apprenant vers une réflexion critique portant sur l’opinion qu’il a préalablement formulée..." --Et017373 4 novembre 2016 à 18:11 (EDT) MF Blais
- Bonjour ! Vos arguments m'ont convaincue. Tous les éléments importants sont là ;-)--Béatrice Pudelko (discussion) 4 novembre 2016 à 19:39 (EDT)
Description
--Béatrice Pudelko (discussion) 14 novembre 2018 à 11:33 (EST)Bonjour, l'ajout des informations dans la sous-section Historique en provenance du chapitre de Tardif est pertinent, cependant, il faudrait indiquer la page de la citation.
--Béatrice Pudelko (discussion) 14 novembre 2018 à 11:36 (EST) Quand vous dites que Socrate serait "l'inventeur de la définition", vous voulez dire qu'il serait l'inventeur du "concept" ou de la notion de "définition" ? Ai-je bien compris ? Peut-on le préciser ?
--Marc-Olivier Malépart (discussion) 15 décembre 2016 à 19:48 (EDT) Je trouve que l'exemple du dialogue est une excellente manière de montrer la profondeur que peut prendre le dialogue socratique. J'ai lu la théorie de la fiche, mais c'est au moment de voir l'exemple de conversation que j'ai réalisé que je n'avais pas réellement saisi la profondeur que peut atteindre ce type de dialogue. Franchement, on dit qu'une image vaut mille mots, je rajouterais qu'un bon exemple en vaut deux mille. J'ai ajouté une définition de la pédagogie socratique selon Charles Hummel.
La description est bien étoffée et claire. On voit presqu'à l'œuvre le processus d'apprentissage. Ceci dit, j'aurais une suggestion et une question.
Suggestion - Il serait utile de dire dans cette section <Description> - et si possible assez vite - que le dialogue socratique s'inscrit directement dans la pédagogie active, mettant au centre l'apprenant. C'est très bien décrit dans la rubrique <Conditions favorisant l'apprentissage> sous "Intégrer", mais il me semble que cela devrait faire partie de la caractérisation de base de la stratégie, et donc dans sa description. Cela aiderait à mieux lire la suite, qui est plus pointue.
Question - Je ne comprends pas en quoi le fait de s'inscrire dans un travail de groupe, collaboratif (cf. votre résumé des travaux de Kost et Chang (2014,3) constitue une des trois composantes de la mise en œuvre de cette stratégie. Même si le dialogue socratique collaboratif est certainement très riche sur le plan de l'apprentissage et se rapproche plus de la façon dont Socrate enseignait, il me semble que c'est tout à fait fonctionnel et efficace également entre un enseignant et un apprenant, dans une démarche expert-novice. Le terme de "dialogue" (plutôt que "débat" socratique) soutient d'ailleurs cette idée d'un échange à deux, non? Et puisque l'enseignant part des réponses premières (pré-critiques) de l'étudiant et le questionne pour le faire cheminer vers une pensée critique et de nouvelles réponses, il me semble que l'enseignant doit bâtir ce cheminement un peu sur mesure pour chacun des apprenants, non? Quel est le rôle du groupe dans cette dynamique? Un rôle actif, en posant lui-aussi des questions à cet apprenant? Un rôle plus passif, dans lequel l'apprentissage se fait aussi en étant "témoin" du dialogue socratique entre l'enseignant et le l'étudiant x? --Nicole Morf (discussion) 2 novembre 2016 à 13:47 (EDT)
- En fait, je viens d'aller voir votre rubrique <Type de regroupement> et je m'aperçois que c'est ce que vous dites aussi, avec Crevier (2013). Mais alors, il faudrait peut-être tenter d'expliquer pourquoi Kost et Chang (2014) mettent ainsi de l'emphase sur le travail de groupe. Ceci dit, bravo pour la fiche! --Nicole Morf (discussion) 2 novembre 2016 à 13:47 (EDT)
- --Et017373 4 novembre 2016 à 18:25 (EDT)MF Blais Merci pour ces commentaires! Cependant, en lien avec votre première suggestion, j'ai relu la section "description" et il me semble déjà répondre à votre suggestion. Ainsi, après avoir décrit les origines de la stratégie, je décris les composantes-clé en commençant d'abord par décrire l'essence même de la stratégie (i.e. une discussion particulière) et, dès le deuxième paragraphe, je nomme que le dialogue socratique s'inscrit directement dans la pédagogie active, mettant au centre l'apprenant (deuxième paragraphe): "Cette stratégie place donc l’apprenant en action et le situe au centre de son apprentissage. Charles Hummel (2000: 5) explique que la pédagogie socratique se démarque de l'enseignement traditionnel où un enseignant s’efforce de transmettre ses connaissances à un élève qui doit les assimiler plus ou moins passivement: « La pédagogie socratique est une pédagogie active, c’est la pédagogie du dialogue où éducateur et élève coopèrent à la recherche du savoir. »
- --Et017373 4 novembre 2016 à 18:42 (EDT) MF Blais Concernant votre question, je la trouve très pertinente mais, comme vous le dite à la fin de votre commentaire, cette question concerne d'avantage le type de regroupement. Je pense donc que pour respecter la catégorisation du wiki il faut détailler cet aspect dans cette rubrique. La raison pour laquelle j'ai mentionné l'aspect collaboratif de Kost et Chang (2014) est qu'il fait partie des composantes clé, selon eux, de cette stratégie. Je ne voulait pas le passer sous silence étant donné que leur texte fait partie de ceux que j'ai lus et approfondis. L'échange en dyade a déjà préalablement été mentionné dans la description (par exemple: "Il débute avec une opinion ou une affirmation faite par l’apprenant. L’enseignant intervient par la suite en posant des questions qui orientent l’apprenant vers une réflexion critique portant sur l’opinion qu’il a préalablement formulée..." Ceci dit, j'ai tout de même ajouté en début de phrase "selon eux" avant de poursuivre avec "il doit s’inscrire dans un travail en groupe, en collaboration". --Et017373 4 novembre 2016 à 18:42 (EDT) MF Blais
Conditions favorisant l’apprentissage
L'analyse des différentes conditions proposée par la contributrice Et017373 est très pertinente et s'appuie bien sur les lectures du cours et d'autres textes complémentaires. Cependant, concernant les arguments puisés dans le texte de Deksissa et al (2014) s'appliquent-ils spécifiquement au dialogue socratique ou à toutes les "stratégies actives" ? Quelles sont les stratégies actives qu'ils évaluent dans leur formation ? --Béatrice Pudelko (discussion) 1 novembre 2016 à 21:30 (EDT)
J'étais aussi embêtée après ma lecture du texte de Deksissa et al (2014). Lorsque j'ai commencé à réviser la fiche, les auteurs étaient mentionné comme ceci: "Le dialogue socratique améliore significativement les résultats scolaires des apprenants (Deksissa, Liang, Behera & Harkness, 2014).". J'ai donc décidé d'aller lire le texte mais l'impact du dialogue socratique sur les résultats scolaires ne me semblent pas si clairement établi. La formation incluait le dialogue socratique donc j'ai tout de même décidé de garder ce texte. Suite à votre commentaire, j'ai ajouté "dites "actives", dont le dialogue socratique" pour être plus conforme au texte ce qui donne: "Cette formation utilise différentes activités d’apprentissage dites "actives", dont le dialogue socratique, les amenant à être plus actifs dans leur apprentissage". Aurait-il fallu que je nomme toutes les stratégies utilisées ? Je souhaitait plutôt concentrer mes propos sur le dialogue socratique. --Et017373 4 novembre 2016 à 18:55 (EDT) Mf Blais
Niveau d’expertise des apprenants
Je pense personnellement que tout apprenant doit avoir une certaine connaissance du domaine pour utiliser le dialogue socratique. On n'utiliserait pas cette stratégie avec un groupe pour apporter des connaissances totalement nouvelles. Il doit y avoir une certaine base sur laquelle bâtir. Tout comme on n'utiliserait pas vraiment cette stratégie avec des enfants car leurs référents ne sont pas assez nombreux pour en faire une stratégie efficace.
--Marylaine 9 octobre 2017 à 09:40 (EDT)
Type de guidage
L'ajout par la dernière contributrice des types de guidage selon le stade (stage) de l'apprenant est intéressant et pertinent. Cependant, il faudrait le traduire en français.--Béatrice Pudelko (discussion) 1 novembre 2016 à 21:30 (EDT)
Proposition de traduction préliminaire (à améliorer):
- Stade 1 : les apprenants dépendants nécessitent que l'enseignant adopte un rôle d'expert et utilise des questions précises (?? structurées, directives ?? directives questions)
- Stade 2: les apprenants motivés tireront bénéfice d'un enseignant dont les questions les incitent à identifier eux-mêmes leurs objectifs d'apprentissage;
- Stade 3 : les apprenants impliqués ont besoin de questions qui favorisent une discussion dans laquelle chaque membre a un rôle similaire (identique, égal?? "equal")
- Stade 4: les apprenants autonomes ont besoin de questions qui les aident à améliorer leur capacité d'apprendre.
Ce modèle met en lumière le parcours que chaque apprenant (j'ai supprimé les "physicians"...) doit faire pour passer de la dépendance à l'autonomie.
Note - pour les stades 1 et 3, la phrase en anglais semble coupée trop tôt ou trop tard, car elle se termine pas "whereas"... --Nicole Morf (discussion) 2 novembre 2016 à 14:10 (EDT)
J'ai fait le changement et amélioré la traduction. --Et017373 4 novembre 2016 à 19:07 (EDT) MF Blais
Type de regroupement des apprenants
Milieu d’intervention
et017373. J'ai ajouté "milieu de travail" comme milieu d'intervention. -
Conseils pratiques
Références
Il faudrait déplacer dans la section de références "utilisées" toutes les références qui ont été utilisées et qui figurent actuellement dans "disponibles" (par ex. Deksissa et al, 2014).--Béatrice Pudelko (discussion) 1 novembre 2016 à 21:30 (EDT)
Pour citer un auteur dans le texte selon les normes APA (français ou anglais), il faut écrire : (Auteur, p. X) et non pas (Auteur: X). Plusieurs citations de cette sorte sont à corriger dans le texte de la fiche. --Béatrice Pudelko (discussion) 1 novembre 2016 à 21:30 (EDT)
Vous pouvez indiquer ici :
- les ressources informationnelles qui sont citées dans le texte de la fiche mais qui ne figurent pas dans les références bibliographiques,
- les ressources informationnelles douteuses ou incomplètes.
Il vaut mieux faire directement dans le texte de la fiche (à l'endroit approprié) les actions suivantes concernant les références
- suppressions,
- ajouts,
- corrections (italiques, orthographe, style APA...),
- déplacements (dans les autres sections des références).
Rectificatifs
La référence Kost et Chang (2014) était inexacte. J'ai retracé l'information et corrigé la source : Kost et Chen (2015). Les modifications ont été apportées dans le corps de la page également. --François (discussion) 18 mai 2021 à 18:44 (EDT)