Différences entre versions de « Modelage »

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Tous les types de regroupement se prêtent à l’utilisation du modelage.
 
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Dans le cadre d’élèves présentant des difficultés d’apprentissage, les études en démontrent l’efficacité dans des groupes à effectifs réduits (Fournier et Cartier, 2011; Gauthier et al., 2007).  Ce type de regroupement permet une intervention plus directe pour valider les effets positifs du modelage lors de la pratique guidée et autonome.
 
Dans le cadre d’élèves présentant des difficultés d’apprentissage, les études en démontrent l’efficacité dans des groupes à effectifs réduits (Fournier et Cartier, 2011; Gauthier et al., 2007).  Ce type de regroupement permet une intervention plus directe pour valider les effets positifs du modelage lors de la pratique guidée et autonome.
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Par ailleurs, l’utilisation du modelage via un [[tutoriel]] permet un accompagnement plus individualisé, mais pas nécessairement personnalisé.
 
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== Milieu d’intervention ==
 
== Milieu d’intervention ==
Décrire dans quel milieu éducatif la stratégie a été utilisée. Donner des exemples.
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Les milieux d’intervention dont le modelage a fait l’objet d’étude, sont surtout les milieux scolaires de tous les ordres (primaire, secondaire, post-secondaire).
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Selon Lauzier (2011), les milieux organisationnels utilisent également le modelage avec succès pour permettre l’acquisition de connaissances procédurales et la reproduction de comportement associés au contenu de formation spécifique au milieu.  Par exemple, l’enseignement d’une procédure de stérilisation des mains à un corps d’emploi spécifique dans un milieu hospitalier. Par ailleurs, les résultats d’études rapportés par Lauzier font appel à un modelage mixte où un façonnement comportemental est également mis en place.
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== Conseils pratiques  ==
 
== Conseils pratiques  ==
Dans la mesure du possible, fournir des conseils, des « trucs » ou des « astuces » en lien avec des exemples issus de la pratique « réelle » de cette stratégie.
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Comme le soulignent Bissonnette et al. (2006), l’élément central lié à la mise en place du modelage est la clarté du langage ainsi que l’utilisation des exemples et des contre-exemples.
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Dans un premier temps, l’information présente doit être claire, précise, concise et séquencée en petites unités.  De plus, l’enseignant doit présenter des exemples et des contre-exemples que les apprenants pourront réutiliser lors de la période de pratiques guidées et autonomes suivant l’étape du modelage.  Comme le modelage s’appuie sur les caractéristiques de la mémoire de travail et à l’approche cognitive, il faut veiller à la quantité (trois à cinq) et à la qualité de ces exemples et contre-exemples.  De ce fait, ceux-ci doivent être pertinents à la tâche à réaliser et suivre la progression de l’apprentissage : du simple au complexe.
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Par ailleurs, les travaux indiquent qu’une série d’indices verbaux (verbal prompts) (mots clés ou questions prédéfinies) modelés par l’enseignant, offre des repères aux élèves lorsqu’ils sont en résolution de tâche.  Par exemple, l’utilisation des mots-clés « quoi », « où », « pourquoi » et « comment » peuvent être modelés afin de guider les élèves lors de l’enseignement des stratégies de lecture (Rosenshine 1 et2, 2012). 
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Bissonnette et al. (2006) ajoutent qu’un résumé de la procédure enseignée par modelage, remis à l’élève lors de la pratique guidée est une modalité de support qui ancre davantage les apprentissages souhaités.  Toutefois, l’étude de Fournier et Cartier (2011) démontre que l’ajout d’un facilitateur procédural, comme support visuel, au modelage a eu un effet à court terme, uniquement, auprès des élèves qui y avaient eu accès.
  
 
== Bibliographie ==
 
== Bibliographie ==

Version du 25 mars 2016 à 14:08

ÉBAUCHE (sans bibliographie)


Appellation en anglais

Modeling

Cognitive modeling

Stratégies apparentées

Le modelage cognitif peut être présenté comme une forme d'étayage par l'enseignant (Bruner, 1998; Chabanne et Bucheton, 2002 dans Lamarre et Cavanagh, 2012).

Dans une perspective de technologies éducatives, le tutoriel et le videomodeling sont des stratégies de modelage qu'on retrouve dans diverses plateformes technologiques. Ces dernières, qui visent également un enseignement de connaissances procédurales, mais se distinguent du modelage au niveau du type de guidage et des conditions d'apprentissage. Celles-ci s'inscrivent davantage dans une démarche d'apprentissage asynchrome ne dépendant pas d'une salle de classe et/ou d'un enseignant spécifique. Le façonnement comportemental s'apparente également au modelage cognitif. Cette stratégie d’apprentissage met l’accent sur l’acquisition de nouveaux comportements en observant une autre personne (modèle) accomplissant une tâche spécifique. Ce modelage comportemental est une stratégie d’enseignement utilisée à l’occasion de formation en milieu de travail ou en milieu d’enseignement universitaire (Lauzier, 2011).

Type de stratégie

Le modelage est une microstratégie qui s'inscrit dans une démarche d'enseignement explicite.

Types de connaissances

L’acquisition de connaissances procédurales chez l’apprenant est la principale visée du modelage. L’enseignement de stratégies d’organisation (Boon, Fore, Ayres et Spencer, 2005), de stratégies d’élaboration (Gerstern, Fuchs, William et Baker,2001) et de stratégies de sélection (Wilder et Williams, 2001) ont fait l’objet de plusieurs études (tous cités dans Fournier et Cartier, 2011). Plusieurs études suggèrent que les domaines d'études nécessitant l'utilisation d'une variété de stratégies sont bien servies par le modelage tels les mathématiques, le français, les sciences. Avec le modelage, l'enseignant voit à expliciter le "quoi faire", le "comment faire", le "pourquoi faire", le "quand et où le faire" (Richard et Bissonnette, 2001).

Les stratégies ou connaissances métacognitives peuvent également faire l'objet d'un enseignement explicite dans un contexte de compréhension de lecture (Bissonnette, Richard, Gauthier et Bouchard, 2010).

D'autres parts, le modelage est également utilisé comme stratégie d'apprentissage auprès des futurs enseignants afin de les conscientiser sur l'utilisation de leurs propre stratégies et processus cognitifs lorsqu'ils réalisent une tâche complexe (Lamarre et Cartier, 2012).

Description

Le modelage trouve ses assises dans les travaux de Vygotsky et Bruner dans leurs travaux sur le développement des apprentissages du langage oral. À partir des années 70, plusieurs études démontrent l’efficacité du modelage cognitif auprès d’une variété d’apprenants qui sont placés dans des situations de résolution de problèmes et dans des contextes d’enseignement où une variété de stratégies est sollicitée (lecture, mathématiques, sciences) (Lamarre et Cavanagh, 2012). Le modelage cognitif est une stratégie pédagogique qui se situe en amont de la démarche d’enseignement explicite et qui tend à structurer l’apprentissage en étapes séquencées. Cette stratégie d’enseignement s’effectue en trois temps : le modelage, la pratique guidée et la pratique autonome. Pour Rosenshine (1986 cité dans Bissonnette, Richard et Gauthier, 2012), le modelage est une étape qui doit favoriser la compréhension de l’objectif d’apprentissage pour l’apprenant et qui doit viser l’intériorisation de diverses stratégies de résolution de problèmes. Cette intériorisation du discours est directement liée au modelage réalisé par l’enseignant. Ainsi, lorsqu'il présente un contenu d’apprentissage, l’enseignant « met un haut-parleur sur sa pensée » en verbalisant aux apprenants toutes les stratégies métacognitives auxquelles il fait appel pour accomplir la tâche : les liens à faire entre les nouvelles connaissances et les connaissances antérieures, les procédures à utiliser pour résoudre un problème, les questions qu’il se pose, les difficultés auxquelles il fait face (Bissonnette et al, 2007). En fait, il rend visible, via le langage, son dialogue intérieur qui explicite tous les processus cognitifs lui permettant de réaliser la tâche d’apprentissage (Lafortune et St-Pierre, 1994, 1996 cités dans Lamare et Cavanagh, 2012).

Le modelage comme première étape en enseignement explicite. Source: Richard, M. et Bissonnette, S. (2001)


Cette stratégie pédagogique s’inscrit dans l’approche cognitive, puisque les éléments qui composent l’unité ou l’objet d’apprentissage sont séquencés du simple vers le complexe et du facile vers le difficile. (Bissonnette et al, 2007). Ce principe s’appuie sur les contraintes exercées par la mémoire de travail qui ne peut traiter simultanément qu’environ sept éléments d’information (Miller, 1956 cité dans Schneider et Stern, 2010). Le modelage, dans le cadre d’une démonstration « étape par étape » pour résoudre un problème mathématiques, en est un exemple. En mettant l’emphase sur les processus (ou les étapes) qui permettent de réaliser la tâche cela permet de réduire la charge cognitive de la mémoire de travail (Rosenshine, 2012). De ce fait, le modelage est une stratégie pédagogique qui doit être mise en œuvre dans un temps assez restreint (environ dix minutes) après s’être assurée d’avoir capter l’attention des apprenants (Richard et Bissonnette, 2001). C’est pour cette raison que la pratique guidée et autonome doivent suivre le modelage. Afin de permettre aux apprenants d’encoder efficacement dans leur mémoire à long terme des nouvelles connaissances. En ce sens, le modelage respecte donc un des dix constats clés de la recherche cognitive sur l’apprentissage : l’apprentissage est tributaire des capacités limitées du système humain de traitement de l’information (Schneider et Stern (2010).

Les tutoriels pédagogiques élaborés à partir de vidéos et diffusés via différents médias numériques, permettent d’utiliser le modelage comme stratégie d’apprentissage. Par exemple, des enseignants au collégial promouvant la classe inversée, utilisent le modelage via tutoriels pour transmettre les connaissances et rendre explicite les raisonnements menant à l’utilisation de différentes procédures.

Conditions favorisant l’apprentissage

Comme le souligne Lamarre et Cantin (2012) : "(…) le modelage est une intervention pédagogique extrêmement complexe et difficile à mettre en place, car elle exige que l’enseignant mobilise un ensemble de ressources affectives, cognitives et métacognitives". Ces auteures présentent trois conditions favorisant l’efficacité de cette stratégie.

  1. L’enseignant doit être prédisposé à faire le modelage : il doit avoir bien intégrer les éléments qui définissent le concept même de modelage, croire en sa valeur et s’en faire une représentation mentale. La mise en place de cette stratégie repose sur une planification adéquate et structurée de l’enseignement explicite des stratégies cognitives et métacognitives. C’est-à-dire prévoir comment enseigner le « quoi », le « pourquoi », le « comment » et le « quand ». Ceci avec l’objectif de maximiser le transfert des connaissances.
  2. L’enseignant doit cibler une stratégie appropriée : il doit développer la capacité à choisir une stratégie spécifique au contexte de la tâche et au niveau de difficulté de l’élève. En créant un conflit cognitif chez celui-ci, l’enseignant modèle à l’élève différentes procédures permettant de résoudre le problème.
  3. L’enseignant doit pouvoir travailler dans la complexité : il doit posséder de bonnes connaissances métacognitives, avoir confiance en ses capacités afin d’être en mesure de réfléchir sur son action tout en élaborant la prochaine étape de la séquence à enseigner et en gérant les interactions des élèves. L’enseignant doit constamment ajuster ses actions entre ce qu’il dit, ce qu’il fait et ce qui se passe dans la classe.

De son côté, Ouellet (1997) mentionne que l’enseignant doit prévoir comment il amènera les élèves à prendre conscience

  • de ce qu’ils apprennent
  • de comment ils apprennent
  • de comment ils surmontent leurs difficultés

Les données empiriques présentant l’efficacité de cette stratégie sont élaborées dans plusieurs études effectuées mettant de l’avant les écoles dites efficaces où l’utilisation de stratégies impliquant l’enseignement explicite, donc l’étape du modelage, est prédominante. L’étude de Reynolds, Creemers, Stringfield, Teddlie et Schaffer (2002 citée dans Gauthier et al., 2007) démontre qu’un enseignement explicite, structuré et directif amène des gains significatifs au niveau des apprentissages des élèves, et ce, peu importe le milieu socioéconomique, la performance des élèves et le système scolaire. Les résultats d’une méta-recherche effectuée par Bissonnette, Richard, Gauthier et Bouchard (2010) mettent également en lumière des résultats qui abondent dans le même sens. On y présente la méta-analyse de Swanson (1999) qui démontrent que le modelage d’une variété de stratégies lors de l’apprentissage de la lecture auprès d’élèves en difficultés d’apprentissage améliore leur rendement. Pour sa part, la méta-analyse de Kroesbergen et Van Luit (2003) portant sur l’enseignement direct (et les travaux de Goldman, 1989) en mathématiques confirme l’efficacité du modelage pour favoriser les apprentissages.


Niveau d’expertise des apprenants

Puisque le modelage amène un enseignement de connaissances procédurales, les apprenants débutants dans un domaine d’étude, quel que soit leur âge, seront davantage privilégiés. C’était le postulat de base de plusieurs études portant sur les interventions efficaces en enseignement qui s’est avéré fondé (Bissonnette et al., 2006). Aussi, l’enseignement explicite d’un « savoir-faire » démontre également plusieurs avantages s’il est offert dans un cadre de formation spécifique en entreprise auprès d’employés, de tous les types, lorsqu’une nouvelle procédure doit être mise en place.

Gauthier et al. (2007) rapportent que le modelage, s’inscrivant dans une démarche d’enseignement explicite, s’avère très efficace et adapté autant auprès de jeunes élèves démontrant une lenteur dans les apprentissages qu’auprès d’élèves plus vieux et plus performants. Le modelage est particulièrement adapté pour l’enseignement dans les domaines des mathématiques, de la lecture et de l’écriture auprès des élèves en difficulté d’apprentissage de tous âges et à risque d’échec (Rosenshine, 2012; Fournier et Cartier, 2011).

Par ailleurs, Lamarre et Cavanagh (2012) présente une étude de cas en contexte post-secondaire auprès d’apprenants de type intermédiaire où les enseignants ont recours au modelage comme stratégie explicite d’enseignement. De plus, certaines recherches démontrent que le modelage est une stratégie cognitive à expérimenter comme étudiant novice dans le domaine de l’enseignement, et ce, afin de pouvoir l’utiliser une fois devenu enseignant (Ritter, 2012; Lamarre et Cavanagh, 2012).


Type de guidage

Le modelage est une stratégie pédagogique qui doit s’actualiser dans un très court laps de temps (± 10 minutes) pour tenir compte des contraintes liées à la mémoire de travail. Ce faisant, le guidage est formel et structuré tout au long de la démarche. L’enseignant, en modelant et en verbalisant une procédure à suivre pour résoudre un problème et en explicitant les stratégies métacognitives qu’il utilise, offre un support cognitif important aux apprenants (Rosenshine1 et 2, 2012). Il agit à titre de guide/expert afin que l’apprenant acquière des connaissances procédurales et développe ses stratégies métacognitives. Par ailleurs, dans le cadre d’une démarche d’apprentissage guidé, Goldman (1989, cité dans Rosenshine 2012) suggère que « le modelage d’une tâche donnée est présenté par un élève pour être ensuite explicité par l’enseignant, de façon à faire ressortir les éléments essentiels qui sont mis en application dans la tâche » .

Un modelage vécu sous la forme d’un tutoriel offre nécessairement un guidage soutenu par un système informatisé (Viméo, You tube, vidéos, etc.). Et permet à l'apprenant d'en moduler les paramètres d'écoute (pause, réécoute, écoute en temps différé, etc.) selon son niveau de compréhension.

Type de regroupement des apprenants

Tous les types de regroupement se prêtent à l’utilisation du modelage. Dans le cadre d’élèves présentant des difficultés d’apprentissage, les études en démontrent l’efficacité dans des groupes à effectifs réduits (Fournier et Cartier, 2011; Gauthier et al., 2007). Ce type de regroupement permet une intervention plus directe pour valider les effets positifs du modelage lors de la pratique guidée et autonome.

Par ailleurs, l’utilisation du modelage via un tutoriel permet un accompagnement plus individualisé, mais pas nécessairement personnalisé.


Milieu d’intervention

Les milieux d’intervention dont le modelage a fait l’objet d’étude, sont surtout les milieux scolaires de tous les ordres (primaire, secondaire, post-secondaire).

Selon Lauzier (2011), les milieux organisationnels utilisent également le modelage avec succès pour permettre l’acquisition de connaissances procédurales et la reproduction de comportement associés au contenu de formation spécifique au milieu. Par exemple, l’enseignement d’une procédure de stérilisation des mains à un corps d’emploi spécifique dans un milieu hospitalier. Par ailleurs, les résultats d’études rapportés par Lauzier font appel à un modelage mixte où un façonnement comportemental est également mis en place.


Conseils pratiques

Comme le soulignent Bissonnette et al. (2006), l’élément central lié à la mise en place du modelage est la clarté du langage ainsi que l’utilisation des exemples et des contre-exemples.

Dans un premier temps, l’information présente doit être claire, précise, concise et séquencée en petites unités. De plus, l’enseignant doit présenter des exemples et des contre-exemples que les apprenants pourront réutiliser lors de la période de pratiques guidées et autonomes suivant l’étape du modelage. Comme le modelage s’appuie sur les caractéristiques de la mémoire de travail et à l’approche cognitive, il faut veiller à la quantité (trois à cinq) et à la qualité de ces exemples et contre-exemples. De ce fait, ceux-ci doivent être pertinents à la tâche à réaliser et suivre la progression de l’apprentissage : du simple au complexe.

Par ailleurs, les travaux indiquent qu’une série d’indices verbaux (verbal prompts) (mots clés ou questions prédéfinies) modelés par l’enseignant, offre des repères aux élèves lorsqu’ils sont en résolution de tâche. Par exemple, l’utilisation des mots-clés « quoi », « où », « pourquoi » et « comment » peuvent être modelés afin de guider les élèves lors de l’enseignement des stratégies de lecture (Rosenshine 1 et2, 2012). Bissonnette et al. (2006) ajoutent qu’un résumé de la procédure enseignée par modelage, remis à l’élève lors de la pratique guidée est une modalité de support qui ancre davantage les apprentissages souhaités. Toutefois, l’étude de Fournier et Cartier (2011) démontre que l’ajout d’un facilitateur procédural, comme support visuel, au modelage a eu un effet à court terme, uniquement, auprès des élèves qui y avaient eu accès.

Bibliographie

Identifier, selon les normes APA, toutes les ressources informationnelles utilisées pour rédiger cette fiche.

Bissonnette, S., Richard, M., Gauthier, C. (2006). Comment enseigne-t-on dans les école efficaces? Efficacité des écoles et des réformes . St-Nicolas, Canada: Les Presses de l'Université Laval.

Webographie

Identifier et décrire brièvement des ressources complémentaires disponibles sur le web.