Différences entre versions de « Discussion:Apprentissage coopératif »

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Cette fiche m'apparaît bien complète et avec beaucoup de bonnes références et de bons exemples. Je n'aurais aucun mal à l'utiliser dans le cadre de mon travail alors que nous mettons de l'avant, plusieurs initiatives relevant de l'apprentissage coopératif. J'aime bien la nuance avec l'apprentissage collaboratif puisqu'effectivement, structurer les rôles de chacun pourrait permettre de mieux atteindre certains objectifs relatifs à la formation.
  
 
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Réponse : Cette information a été déplacée dans la section ''Type de connaissances'' à la suite de votre recommandation. --[[Utilisateur:Et438846|Et438846]] ([[Discussion utilisateur:Et438846|discussion]]) 15 avril 2016 à 22:30 (EDT)
 
Réponse : Cette information a été déplacée dans la section ''Type de connaissances'' à la suite de votre recommandation. --[[Utilisateur:Et438846|Et438846]] ([[Discussion utilisateur:Et438846|discussion]]) 15 avril 2016 à 22:30 (EDT)
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(2) Dans la fiche de cette stratégie, elle est qualifiée comme étant une macrostratégie et un microstratégie. Je suis d'accord sur le fait qu'il s'agit d'une macrostratégie dans le sens où l'apprentissage coopératif est une approche qui vise l'organisation globale des activités d'apprentissage (et pas le contenu de celles-ci), mais je ne crois pas qu'on puisse qualifier l'approche de microstratégie. En effet, on n'utiliserait pas cette approche (au complet, la formation d'équipe, les principes) pour planifier seulement quelques activités au sein d'une formation. Les structures, de façon individuelle, qui font partie de l'approche, comme le jigsaw, le think-pair-share, etc. pourrait être qualifiées de mircostratégies (ou macrostraégies), mais pas l'apprentissage coopératif en tant que tel. Je suggèrerais donc qu'on modifie cette section pour en tenir compte.
  
 
== Type de connaissances ==
 
== Type de connaissances ==
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Il me semble que, minimalement, vous devez fournir quelque chose sur cette section. Ne pas oublier que les "types de connaissances" constituent l'un des piliers de l'approche cognitive de la conception pédagogique, pilier sur lequel on prend des décisions pédagogiques, dont le choix/la sélection/l'adaptation des stratégies.
 
Il me semble que, minimalement, vous devez fournir quelque chose sur cette section. Ne pas oublier que les "types de connaissances" constituent l'un des piliers de l'approche cognitive de la conception pédagogique, pilier sur lequel on prend des décisions pédagogiques, dont le choix/la sélection/l'adaptation des stratégies.
  
Réponse : Suite à vos conseils, j'ai décidé de compléter cette section en tenant compte des types connaissances et d'apprentissage visées par le choix d'une stratégie d'apprentissage coopératif.  Par ailleurs, j'en profite pour mentionner les différents types d'apprentissage coopératif selon Johnson.
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Réponse : Suite à vos conseils, j'ai décidé d'ajouter quelques éléments dans cette section en tenant compte des types connaissances et d'apprentissage visées par le choix d'une stratégie d'apprentissage coopératif.  Par ailleurs, j'invite d'autres à compléter et enrichir cette section.
  
 
== Description ==
 
== Description ==
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--[[Utilisateur:Et003891|M Toupin, étudiant TED6210]] ([[Discussion utilisateur:Et003891|discussion]]) 13 octobre 2017 à 12:15 (EDT) <br />
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Collaboration et coopération sont des termes qui mènent à de la confusion. Il est utile dans ce wiki de refléter les différents usages. Toutefois, l'idée de bien bien clarifier demeure l'objectif.<br />
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(1) Il me semble que le phrasé de la citation de (Béliveau, 2011) n'apporte pas la distinction que la fiche cherche à préciser à cette place dans cette section. <br />
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(2) Pour plus de lisibilité, je suggère d'organiser le plan de la section suivant cette séquence:
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# Ressemblances et différences entre l'apprentissage coopératif
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# Avantages de l'apprentissage coopératif
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# Les conditions de mise en oeuvre
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# Les étapes de mise en place
  
 
(1) --[[Utilisateur:Jcontami|Julien]] ([[Discussion utilisateur:Jcontami|discussion]]) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)
 
(1) --[[Utilisateur:Jcontami|Julien]] ([[Discussion utilisateur:Jcontami|discussion]]) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)
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   former beaucoup moins que la moitié du texte."
 
   former beaucoup moins que la moitié du texte."
  
Réponse : C'est noté, je vais retenir l'essentiel et raccourcir la citation. --[[Utilisateur:Et438846|Et438846]] ([[Discussion utilisateur:Et438846|discussion]]) 15 avril 2016 à 23:03 (EDT)
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Réponse : C'est noté, j'ai finalement décidé d'enlever la citation. Ainsi la citation ci-dessous a été retirée ne voyant pas trop où ni comment l'insérer.  Cette dernière apporte un détail sur les différentes formes de coopération existantes.
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Il existe trois types d'apprentissage coopératif pouvant prendre forme dans le cadre d'une séance d'enseignement (Johnson, Johnson et Holubec, 2008) :
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<blockquote> « '''Formal cooperative learning''' consists of students working together, for one class period to several weeks, to achieve shared learning goals and complete jointly specific tasks and assignments (such as problem solving, completing a curriculum unit, writing a report, conducting an experiment, or having a dialogue about assigned text material).
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'''Informal cooperative learning''' consists of having students work together to achieve a joint learning goal in temporary, ad hoc groups that last from a few minutes to one class period.
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'''Cooperative base groups''' are long-term, heterogeneous cooperative learning groups with stable membership whose primary responsibilities are to provide support, encouragement, and assistance to make academic progress and develop cognitively and socially in healthy ways as well as holding each other accountable for striving to learn.
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A typical class session may begin with a base group meeting that is followed by a short lecture in which informal cooperative learning is used. The lecture is followed by a formal cooperative learning lesson. Near the end of the class session, another short lecture may be delivered with the use of informal cooperative learning. The class ends with a base group meeting. » </blockquote>
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La partie description est déjà assez complète. --[[Utilisateur:Et438846|Et438846]] ([[Discussion utilisateur:Et438846|discussion]]) 15 avril 2016 à 23:03 (EDT)
  
 
(3) --[[Utilisateur:Jcontami|Julien]] ([[Discussion utilisateur:Jcontami|discussion]]) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)
 
(3) --[[Utilisateur:Jcontami|Julien]] ([[Discussion utilisateur:Jcontami|discussion]]) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)
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Réponse : J'ai corrigé la mise en forme mais n'ayant pas rédigé cette partie, j'ai choisi de ne pas la modifier.  J'espère que d'autres viendront compléter l'information manquante dans cette section ou ajouter un exemple. --[[Utilisateur:Et438846|Et438846]] ([[Discussion utilisateur:Et438846|discussion]]) 15 avril 2016 à 23:24 (EDT)
 
Réponse : J'ai corrigé la mise en forme mais n'ayant pas rédigé cette partie, j'ai choisi de ne pas la modifier.  J'espère que d'autres viendront compléter l'information manquante dans cette section ou ajouter un exemple. --[[Utilisateur:Et438846|Et438846]] ([[Discussion utilisateur:Et438846|discussion]]) 15 avril 2016 à 23:24 (EDT)
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Dans la fiche «apprentissage social» un tableau est présenté:
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Favier (2014) définit 8 bonnes pratiques pour la mise en œuvre d’apprentissage social résumées dans le tableau ci-dessous.
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{| class="wikitable"
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! Bonne pratique!!Bénéfice attendu!!Exemple d’activité mise en œuvre
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| Créer une communauté « d’apprenants » pour les faire communiquer, coopérer et participer efficacement|| Favoriser le sentiment d’appartenance à une communauté || Proposer une activité de type « ice breaking » au lancement d’un dispositif
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| Proposer des activités collaboratives || Favoriser la collaboration entre les membres, co-construire les savoirs||Donner l’accès à un glossaire éditable pour partager du contenu de manière collaborative
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| Proposer des activités de production et de partage d’idées|| Favoriser la production d’idées et le partage d’expérience||Mettre à disposition un blog communautaire dans lequel les apprenants peuvent publier, commenter et évaluer des billets
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| Inciter les apprenants à interagir avec les autres membres de leur groupe via des forums ou messages privés|| Favoriser les interactions|| Mettre à disposition une salle de conférence en ligne dans laquelle les apprenants peuvent se rejoindre pour discuter et partager des documentslule
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| Afficher et animer les événements et actualités de la communauté || Favoriser les échanges et animer le dispositif au-delà du cadre pédagogique formel|| Mettre en place un système de notification (via un réseau social ou par mail) pour informer des dernières actualités, activités disponibles, actions réalisées par les autres membres etc.
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| Mettre en place un système d’auto-évaluation et d’évaluation par les pairs|| Valoriser l’expérience et les compétences Encourager la co-construction de connaissances || Valoriser l’évaluation par les pairs en comptabilisant les commentaires et les «like » déposés par d’autres apprenants sur un billet publié dans un blog communautaire
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| Mesurer la contribution de chaque membre et actionner les leviers de reconnaissance et de motivation|| Favoriser la participation et l’entraide|| Mettre en place un tableau de bord individuel permettant d’afficher les badges obtenus, le classement, la progression etc.
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| Gamifier l’approche collective pour favoriser la coopération et les échanges ||Favoriser la coopération Augmenter la motivation || Mettre en place des badges collectifs, nécessitant soit la collaboration soit la coopération entre les membres d’un groupe
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|}
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Certains éléments pourraient être intéressants pour la présente fiche, mais ils se réfèrent spécifiquement à l’apprentissage social. Il faudrait donc prendre le temps de consulter la source et conclure en conséquence. Aussi, bien que ce tableau soit présenté dans la section «conseils pratiques», je crois que les informations s'appliqueront davantage à la présente section.
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Les informations proviennent du site: http://www.symetrix.fr/8-bonnes-pratiques-social-learning-reussi/
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--[[Utilisateur:Et323941|Et323941]] ([[Discussion utilisateur:Et323941|discussion]]) 29 janvier 2017 à 16:18 (EST)Sara-Ann Doiron
  
 
== Niveau d’expertise des apprenants ==
 
== Niveau d’expertise des apprenants ==
  
 
== Type de guidage ==
 
== Type de guidage ==
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--[[Utilisateur:Et003891|M Toupin, étudiant TED6210]] ([[Discussion utilisateur:Et003891|discussion]]) 13 octobre 2017 à 15:32 (EDT) Il est mention de conflit cognitif (et socio-cognitif!) dans la section ''Type de connaissances''. Il serait intéressant dans cette section de savoir comment l'enseignant peut provoquer, reconnaître et gérer ces conflits afin que les apprenants en tirent profit.
  
 
(1) --[[Utilisateur:Jcontami|Julien]] ([[Discussion utilisateur:Jcontami|discussion]]) 12 avril 2016 à 15:13 (EDT)
 
(1) --[[Utilisateur:Jcontami|Julien]] ([[Discussion utilisateur:Jcontami|discussion]]) 12 avril 2016 à 15:13 (EDT)
  
 
Concernant "''Il y a peu de guidage offert par le formateur''" : dans la section "Description", nous pouvons lire "L'enseignant, par la mise en place '''d'objectifs''', de '''récompenses''', de '''tâches''', de '''rôles''', de forces extérieures ou d'environnement de travail à un contrôle sur l'interdépendance des groupes. (Howden et Kopiec, 2000)" Sur la base de cela, on a l'impression que le guidage est bien présent et dans bien des situations assez fort. Pourquoi dire qu'il y a "peu de guidage".
 
Concernant "''Il y a peu de guidage offert par le formateur''" : dans la section "Description", nous pouvons lire "L'enseignant, par la mise en place '''d'objectifs''', de '''récompenses''', de '''tâches''', de '''rôles''', de forces extérieures ou d'environnement de travail à un contrôle sur l'interdépendance des groupes. (Howden et Kopiec, 2000)" Sur la base de cela, on a l'impression que le guidage est bien présent et dans bien des situations assez fort. Pourquoi dire qu'il y a "peu de guidage".
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Réponse : Il semble y avoir ici une petite contradiction, cette partie du texte était déjà présente et ce que j'en comprend c'est qu'étant donné que l'enseignant joue un rôle de guide auprès des groupes, il n'est pas appelé à intervenir directement au sein d'un groupe. C'est dans ce sens qu'il y a peu de guidage offert par le formateur, peu d'intervention du style : donner des instructions, orienter et organiser la structure du groupe et son travail. Le professeur donne les grandes lignes par exemple ce qu'il y a à faire, laisse le groupe décider et intervient seulement si nécessaire. Pour plus de cohérence, j'ai reformulé le début du paragraphe.  --[[Utilisateur:Et438846|Et438846]] ([[Discussion utilisateur:Et438846|discussion]]) 15 avril 2016 à 23:33 (EDT)
  
 
== Type de regroupement des apprenants ==
 
== Type de regroupement des apprenants ==
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Dans la fiche «apprentissage social» (qui sera retirée sous peu), des informations pourraient être ajoutées dans la présente fiche. L'auteure écrit: --De ce fait, il convient, lors de la mise en place des activités d’enseignement-apprentissage en dyade ou en petit groupe, de former ce que Webb et Palincsar (1996) décrivent comme étant des groupes à « hétérogénéité restreinte » où des élèves novices et des élèves un peu plus avancés (intermédiaires) ou encore des élèves intermédiaires avec des élèves avancés travaillent ensemble.--
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Je propose d'ajouter à la présente section : Webb et Palincsar (1996) proposent de regrouper les apprenants en dyades ou en petits groupes où des élèves novices et des élèves un peu plus avancés (intermédiaires) ou encore des élèves intermédiaires avec des élèves avancés travaillent ensemble. C'est ce qu'ils nomment l'« hétérogénéité restreinte » (''Ibid'').--[[Utilisateur:Et323941|Et323941]] ([[Discussion utilisateur:Et323941|discussion]]) 29 janvier 2017 à 15:49 (EST)Sara-Ann Doiron
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La référence est: Webb, N. & Palincsar, A.S. (1996). Group processes in the classroom. In D. Berliner and R. Calfee (Eds.), Handbook of Educational Psychology, Third Edition (pp. 841-873). New York: Macmillan.--[[Utilisateur:Et323941|Et323941]] ([[Discussion utilisateur:Et323941|discussion]]) 29 janvier 2017 à 16:02 (EST)Sara-Ann Doiron
  
 
== Milieu d’intervention ==
 
== Milieu d’intervention ==
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Dans la fiche «apprentissage social» les informations suivantes sont incluses:
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--La stratégie d’apprentissage social peut être utilisée au primaire, au secondaire, au collégial à l'université et dans les milieux professionnels.
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Dans le cas du primaire, l'apprentissage social peut être mis en oeuvre en tant que microstratégie par la formation des dyades ou des petits groupes d'élèves en vue de favoriser un apprentissage collaboratif (Henri et Lundgren-Cayrol, 2001). Il peut se manifester aussi dans des activités de groupe comme les jeux par exemple.
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Au secondaire, l'apprentissage social consiste à organiser des activités d’apprentissage pour la résolution de problèmes, des études de cas ou des séances d’échanges et de mise en commun des connaissances. Les élèves de secondaire peuvent également faire l'usage des technologies d'information afin d'accéder à des ressources informationnelles, partager leurs travaux ou encore collaborer à la création des contenus dans des blogues ou wikis.
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L’apprentissage social peut, dans le cadre des formations universitaires, se fait en utilisant des plateformes de gestion des connaissances comme Moodle (la plateforme Studium à l'université de Montréal par exemple). Ces plateformes mettent à la disposition des apprenants des outils de partage et d’édition de contenu comme les wikis, les forums et les salons de bavardage (chat). Les universités mettent en place également des bibliothèques virtuelles pour le partage des ressources électroniques comme les mémoires et les thèses de recherche.
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Dans le milieu professionnel, il convient de noter l'utilisation des "podcasts" et le partage des présentations et des vidéos par les entreprises pour la formation continue de leurs employés. Ces outils offrent l'avantage d'être moins coûteux que des formations en salle et permettent de transmettre rapidement des informations en particulier dans les cas de conduite de changement (nouvelle organisation, mise à jour des procédures, etc.). Les entreprises misent également sur les technologies d'information pour mettre en place des communautés de pratiques virtuelles visant la capitalisation des connaissances (Knowledge Management) et l'amélioration de performances des employés.--
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Certaines informations pourraient être intéressantes dans la présente fiche.
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La références est:
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Henri, F., & Lundgren-Cayrol, K. (2001). Apprentissage collaboratif à distance: pour comprendre et concevoir les environnements d'apprentissage virtuels. Puq.
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--[[Utilisateur:Et323941|Et323941]] ([[Discussion utilisateur:Et323941|discussion]]) 29 janvier 2017 à 15:59 (EST)Sara-Ann Doiron
  
 
== Conseils pratiques  ==
 
== Conseils pratiques  ==
  
 
== Références ==
 
== Références ==

Version actuelle datée du 14 septembre 2021 à 15:44

Évaluation globale

Cette fiche m'apparaît bien complète et avec beaucoup de bonnes références et de bons exemples. Je n'aurais aucun mal à l'utiliser dans le cadre de mon travail alors que nous mettons de l'avant, plusieurs initiatives relevant de l'apprentissage coopératif. J'aime bien la nuance avec l'apprentissage collaboratif puisqu'effectivement, structurer les rôles de chacun pourrait permettre de mieux atteindre certains objectifs relatifs à la formation.

Commentaires détaillées par section

Appellation en anglais

(1) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 11:28 (EDT)

Un détail : les termes dans une langue autre que le français devraient être en italique.

Réponse : Effectivement, c'est corrigé, merci. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 21:48 (EDT)

Stratégies apparentées

(1) Olivier Dupras (discussion) 19 août 2015 à 22:56 (EDT)

Bien que cette stratégie s'apparente à l'apprentissage en équipe, il y a tout de même une grande différence entre de l'apprentissage en équipe et l'apprentissage coopératif, notamment au niveau des concept d'interdépendance positive et de responsabilité individuelle. Il existe beaucoup de littérature portant spécifiquement sur l'apprentissage coopératif et je crois donc que l'ajout de cette page est pertinent.

(2) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 11:34 (EDT)

Les consignes "Identifier les stratégies similaires, notamment en ce qui concerne les domaines d’apprentissage et les conditions d’apprentissage visées. Préciser, au besoin, les similitudes et les différences. Identifier les synonymes s’il y a lieu." devraient être supprimées après la rédaction d'une première version de la section. Ce commentaire est valable pour d'autres sections de la fiche.

"Entre autres", plutôt que "entre autre".

Je pense qu'il serait mieux de qualifier les différences entre stratégies après la description de la stratégie dans la section "Description" (ou au fil de la description de la stratégie si cela s'avère plus efficace). Car si on place ces éléments de comparaison entre stratégies ici, c'est parfois difficile de bien comprendre (ou apprécier) les propos car on ne sait pas encore ce qu'est l'apprentissage coopératif.

Réponse : C'est noté, j'avais laissé les consignes pour garder en tête ce qu'il y avait à faire dans chacune des sections, elles ont toutes été retirées. J'ai décidé de déplacer la section qui traite des différences entre les stratégies dans la section Description après le tableau 2. Le texte est plus clair et fluide. C'est aussi plus logique de donner un définition et ensuite une comparaison--Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 21:56 (EDT)

Type de stratégie

(1) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 11:38 (EDT)

Dans cette section, on souhaite catégoriser la stratégie en fonction de la typologie utilisée dans le wiki : modèle, macrostratégie, microstratégie.

Par contre, cette information voulant que l'apprentissage coopératif est vu comme stratégie d'enseignement ou comme stratégie d'apprentissage pourrait être dans une section suivante de la fiche.

Réponse : Cette information a été déplacée dans la section Type de connaissances à la suite de votre recommandation. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 22:30 (EDT)

(2) Dans la fiche de cette stratégie, elle est qualifiée comme étant une macrostratégie et un microstratégie. Je suis d'accord sur le fait qu'il s'agit d'une macrostratégie dans le sens où l'apprentissage coopératif est une approche qui vise l'organisation globale des activités d'apprentissage (et pas le contenu de celles-ci), mais je ne crois pas qu'on puisse qualifier l'approche de microstratégie. En effet, on n'utiliserait pas cette approche (au complet, la formation d'équipe, les principes) pour planifier seulement quelques activités au sein d'une formation. Les structures, de façon individuelle, qui font partie de l'approche, comme le jigsaw, le think-pair-share, etc. pourrait être qualifiées de mircostratégies (ou macrostraégies), mais pas l'apprentissage coopératif en tant que tel. Je suggèrerais donc qu'on modifie cette section pour en tenir compte.

Type de connaissances

(1) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 11:43 (EDT)

Est-ce dire qu'il n'est jamais question des "types de connaissances ou d'apprentissage" dans les documents que vous avez étudiés ? Ou est-ce dire que tous les types de connaissances peuvent être concernées par cette stratégie ?

Il me semble que, minimalement, vous devez fournir quelque chose sur cette section. Ne pas oublier que les "types de connaissances" constituent l'un des piliers de l'approche cognitive de la conception pédagogique, pilier sur lequel on prend des décisions pédagogiques, dont le choix/la sélection/l'adaptation des stratégies.

Réponse : Suite à vos conseils, j'ai décidé d'ajouter quelques éléments dans cette section en tenant compte des types connaissances et d'apprentissage visées par le choix d'une stratégie d'apprentissage coopératif. Par ailleurs, j'invite d'autres à compléter et enrichir cette section.

Description

--M Toupin, étudiant TED6210 (discussion) 13 octobre 2017 à 12:15 (EDT)
Collaboration et coopération sont des termes qui mènent à de la confusion. Il est utile dans ce wiki de refléter les différents usages. Toutefois, l'idée de bien bien clarifier demeure l'objectif.
(1) Il me semble que le phrasé de la citation de (Béliveau, 2011) n'apporte pas la distinction que la fiche cherche à préciser à cette place dans cette section.
(2) Pour plus de lisibilité, je suggère d'organiser le plan de la section suivant cette séquence:

  1. Ressemblances et différences entre l'apprentissage coopératif
  2. Avantages de l'apprentissage coopératif
  3. Les conditions de mise en oeuvre
  4. Les étapes de mise en place

(1) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)

Il faut attendre la fin de la huitième phrase pour avoir une référence bibliographique. Les 4 premières phrases ne requièrent pas vraiment de référence car vous y introduisez des éléments très généraux (généraux mais pas inutiles). Par contre, quand vous dites "Deux concepts importants de l'apprentissage coopératif sont l'interdépendance positive et la responsabilisation individuelle" vous ne pouvez pas ne pas mettre une référence au document dans lequel il est question de ces deux concepts importants, une référence qui avance que ce sont deux concepts importants quand on parle d'apprentissage coopératif.

Réponse : Cette section a été révisée dans son ensemble afin qu'elle soit fluide et cohérente. Les trois premiers paragraphes initialement étaient déjà présents et je mettais contenter d'ajouter de l'information à la suite. A la lueur des commentaires, j'ai décidé de faire en sorte que le tout se tienne. Voila pourquoi cette section commence d'abord par une définition puis par les conditions de mise en oeuvre. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 22:48 (EDT)

(2) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)

Concernant :

« Formal cooperative learning consists of students working together, for one class period..

C'est une citation bien trop longue à mes yeux, et je pense, pas juste à mes yeux.


J'apprécie beaucoup ce que dit Marc Couture sur les citations, dans un autre wiki de la TÉLUQ (je mets en gras ce qui m’apparaît le plus important dans le cas présent) :

"Une citation est la reproduction d’un court extrait d’un document, que l’on inclut dans son texte quand on veut être certain 
 de ne pas déformer un élément précis de l’expression de la pensée d’un auteur, ou encore quand on veut souligner le caractère 
 original d’une formulation ou de la terminologie employée dans un ouvrage qui nous sert de source.
 Une citation peut comprendre un seul terme ou expression, quand on veut signaler que le terme ou l'expression a été proposé par 
 l'auteur, ou encore qu’on lui donne le sens particulier que celui-ci a suggéré. Elle peut aussi comprendre un passage, limité 
 toutefois à quelque lignes au maximum, tant pour respecter le droit d’auteur, s’il y a lieu, que parce qu’un travail universitaire 
 doit attester d’une capacité à résumer et reformuler dans ses propres termes les textes d’autrui, de manière à produire un texte 
 cohérent et personnel.
 De même, la proportion occupée par l’ensemble des citations dans un article doit demeurer peu substantielle, c’est-à-dire   
 former beaucoup moins que la moitié du texte."

Réponse : C'est noté, j'ai finalement décidé d'enlever la citation. Ainsi la citation ci-dessous a été retirée ne voyant pas trop où ni comment l'insérer. Cette dernière apporte un détail sur les différentes formes de coopération existantes.

Il existe trois types d'apprentissage coopératif pouvant prendre forme dans le cadre d'une séance d'enseignement (Johnson, Johnson et Holubec, 2008) :

« Formal cooperative learning consists of students working together, for one class period to several weeks, to achieve shared learning goals and complete jointly specific tasks and assignments (such as problem solving, completing a curriculum unit, writing a report, conducting an experiment, or having a dialogue about assigned text material).

Informal cooperative learning consists of having students work together to achieve a joint learning goal in temporary, ad hoc groups that last from a few minutes to one class period.

Cooperative base groups are long-term, heterogeneous cooperative learning groups with stable membership whose primary responsibilities are to provide support, encouragement, and assistance to make academic progress and develop cognitively and socially in healthy ways as well as holding each other accountable for striving to learn.

A typical class session may begin with a base group meeting that is followed by a short lecture in which informal cooperative learning is used. The lecture is followed by a formal cooperative learning lesson. Near the end of the class session, another short lecture may be delivered with the use of informal cooperative learning. The class ends with a base group meeting. »

La partie description est déjà assez complète. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 23:03 (EDT)

(3) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)

Concernant "Johnson et al., 2008", on devrait voir les différents auteurs du document comme c'est la première fois que vous utilisez ce document dans la fiche.

Réponse : C'est corrigé merci. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 23:03 (EDT)

(4) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)

Concernant la définition de Tardif (2009) :

«l'apprentissage coopératif est une organisation de l'enseignement qui met à contribution le soutien et l'entraide des élèves, grâce à 
 la création de petits groupes hétérogènes travaillant selon des procédés préétablis, assurant la participation de tous et de toutes à
 la réalisation d'une tâche scolaire.»

Vous avez commencé à décrire la stratégie, puis vous avez fourni la définition (citation) de trois types d'apprentissage coopératif, puis, maintenant, vous présentez une définition d'un chercheur québécois.

Je me demande comment relié ces différents éléments. Est-ce que cette définition de Tardif est cohérente avec les 3 types d'apprentissage coopératif ? Comment situer (si Tardif ne le fait pas) sa définition avec ce que disent Howden et Kopiec (2000) sur cette stratégie ?

Fournir des définitions d'une stratégie, ce n'est pas facile mais ce n'est pas difficile. Par contre, essayer de faire des liens entre les définitions ou agréger des éléments de définition pour essayer de proposer une définition intégrée, voici une activité difficile.

Réponse : C'est noté, cette section a été révisée. Tardif n'élabore pas sur les trois types d'apprentissage, toutefois, il reprend les composantes importantes de l'apprentissage coopératif soit l'interdépendance et la responsabilité individuelle tout comme Howden et Kopiec. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 23:03 (EDT)

(5) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)

Sur les "conditions de mise en oeuvre" : quelle est l'origine de ces informations?

Réponse : L'origine de ces informations vient de Tardif et Howden. La référence est indiquée dans la bibliographie des ressources utilisées dans la fiche. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 23:21 (EDT)

(6) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)

Le premier tableau sur les avantages de cette stratégie : quelle est l'origine du contenu de ce tableau ou du tableau ?

Réponse : Ce tableau est une synthèse des textes de Lavergne, Aylwin, Johnson et al., Arcand. Les références sont indiquées dans la bibliographie des ressources utilisées dans la fiche. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 23:21 (EDT)

(7) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 12:18 (EDT)

Le second tableau. J'ai apporté la modification. Vous pouvez aller voir le code nécessaire. Il a fallu des sauts de ligne supplémentaire pour que la mise en page soit correcte. Ne pas oublier de numéroter et donner un titre aux différents tableaux inclus dans la fiche.

Réponse : Je vous remercie d'avoir pris le temps de finaliser la mise en page de mon tableau. Le titre a été rajouté. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 23:21 (EDT)

Conditions favorisant l’apprentissage

(1) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 15:11 (EDT)

Je crois que "Structurer et intégrer les connaissances" après les 2 premières phrases devrait être en gras et après un retour à ligne ? Dans un même élan, le paragraphe suivant, qui est en retrait : est-ce qu'il doit être vraiment en retrait ?

(2) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 15:11 (EDT)

Le second point "Activer les connaissances" : explicitement, il n'y a pas de lien avec l'apprentissage coopératif. Il faudrait sans doute en dire un peu plus.

Réponse : J'ai corrigé la mise en forme mais n'ayant pas rédigé cette partie, j'ai choisi de ne pas la modifier. J'espère que d'autres viendront compléter l'information manquante dans cette section ou ajouter un exemple. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 23:24 (EDT)


Dans la fiche «apprentissage social» un tableau est présenté:

Favier (2014) définit 8 bonnes pratiques pour la mise en œuvre d’apprentissage social résumées dans le tableau ci-dessous.

Bonne pratique Bénéfice attendu Exemple d’activité mise en œuvre
Créer une communauté « d’apprenants » pour les faire communiquer, coopérer et participer efficacement Favoriser le sentiment d’appartenance à une communauté Proposer une activité de type « ice breaking » au lancement d’un dispositif
Proposer des activités collaboratives Favoriser la collaboration entre les membres, co-construire les savoirs Donner l’accès à un glossaire éditable pour partager du contenu de manière collaborative
Proposer des activités de production et de partage d’idées Favoriser la production d’idées et le partage d’expérience Mettre à disposition un blog communautaire dans lequel les apprenants peuvent publier, commenter et évaluer des billets
Inciter les apprenants à interagir avec les autres membres de leur groupe via des forums ou messages privés Favoriser les interactions Mettre à disposition une salle de conférence en ligne dans laquelle les apprenants peuvent se rejoindre pour discuter et partager des documentslule
Afficher et animer les événements et actualités de la communauté Favoriser les échanges et animer le dispositif au-delà du cadre pédagogique formel Mettre en place un système de notification (via un réseau social ou par mail) pour informer des dernières actualités, activités disponibles, actions réalisées par les autres membres etc.
Mettre en place un système d’auto-évaluation et d’évaluation par les pairs Valoriser l’expérience et les compétences Encourager la co-construction de connaissances Valoriser l’évaluation par les pairs en comptabilisant les commentaires et les «like » déposés par d’autres apprenants sur un billet publié dans un blog communautaire
Mesurer la contribution de chaque membre et actionner les leviers de reconnaissance et de motivation Favoriser la participation et l’entraide Mettre en place un tableau de bord individuel permettant d’afficher les badges obtenus, le classement, la progression etc.
Gamifier l’approche collective pour favoriser la coopération et les échanges Favoriser la coopération Augmenter la motivation Mettre en place des badges collectifs, nécessitant soit la collaboration soit la coopération entre les membres d’un groupe

Certains éléments pourraient être intéressants pour la présente fiche, mais ils se réfèrent spécifiquement à l’apprentissage social. Il faudrait donc prendre le temps de consulter la source et conclure en conséquence. Aussi, bien que ce tableau soit présenté dans la section «conseils pratiques», je crois que les informations s'appliqueront davantage à la présente section. Les informations proviennent du site: http://www.symetrix.fr/8-bonnes-pratiques-social-learning-reussi/ --Et323941 (discussion) 29 janvier 2017 à 16:18 (EST)Sara-Ann Doiron

Niveau d’expertise des apprenants

Type de guidage

--M Toupin, étudiant TED6210 (discussion) 13 octobre 2017 à 15:32 (EDT) Il est mention de conflit cognitif (et socio-cognitif!) dans la section Type de connaissances. Il serait intéressant dans cette section de savoir comment l'enseignant peut provoquer, reconnaître et gérer ces conflits afin que les apprenants en tirent profit.

(1) --Julien (discussion) 12 avril 2016 à 15:13 (EDT)

Concernant "Il y a peu de guidage offert par le formateur" : dans la section "Description", nous pouvons lire "L'enseignant, par la mise en place d'objectifs, de récompenses, de tâches, de rôles, de forces extérieures ou d'environnement de travail à un contrôle sur l'interdépendance des groupes. (Howden et Kopiec, 2000)" Sur la base de cela, on a l'impression que le guidage est bien présent et dans bien des situations assez fort. Pourquoi dire qu'il y a "peu de guidage".

Réponse : Il semble y avoir ici une petite contradiction, cette partie du texte était déjà présente et ce que j'en comprend c'est qu'étant donné que l'enseignant joue un rôle de guide auprès des groupes, il n'est pas appelé à intervenir directement au sein d'un groupe. C'est dans ce sens qu'il y a peu de guidage offert par le formateur, peu d'intervention du style : donner des instructions, orienter et organiser la structure du groupe et son travail. Le professeur donne les grandes lignes par exemple ce qu'il y a à faire, laisse le groupe décider et intervient seulement si nécessaire. Pour plus de cohérence, j'ai reformulé le début du paragraphe. --Et438846 (discussion) 15 avril 2016 à 23:33 (EDT)

Type de regroupement des apprenants

Dans la fiche «apprentissage social» (qui sera retirée sous peu), des informations pourraient être ajoutées dans la présente fiche. L'auteure écrit: --De ce fait, il convient, lors de la mise en place des activités d’enseignement-apprentissage en dyade ou en petit groupe, de former ce que Webb et Palincsar (1996) décrivent comme étant des groupes à « hétérogénéité restreinte » où des élèves novices et des élèves un peu plus avancés (intermédiaires) ou encore des élèves intermédiaires avec des élèves avancés travaillent ensemble.--

Je propose d'ajouter à la présente section : Webb et Palincsar (1996) proposent de regrouper les apprenants en dyades ou en petits groupes où des élèves novices et des élèves un peu plus avancés (intermédiaires) ou encore des élèves intermédiaires avec des élèves avancés travaillent ensemble. C'est ce qu'ils nomment l'« hétérogénéité restreinte » (Ibid).--Et323941 (discussion) 29 janvier 2017 à 15:49 (EST)Sara-Ann Doiron

La référence est: Webb, N. & Palincsar, A.S. (1996). Group processes in the classroom. In D. Berliner and R. Calfee (Eds.), Handbook of Educational Psychology, Third Edition (pp. 841-873). New York: Macmillan.--Et323941 (discussion) 29 janvier 2017 à 16:02 (EST)Sara-Ann Doiron

Milieu d’intervention

Dans la fiche «apprentissage social» les informations suivantes sont incluses: --La stratégie d’apprentissage social peut être utilisée au primaire, au secondaire, au collégial à l'université et dans les milieux professionnels.

Dans le cas du primaire, l'apprentissage social peut être mis en oeuvre en tant que microstratégie par la formation des dyades ou des petits groupes d'élèves en vue de favoriser un apprentissage collaboratif (Henri et Lundgren-Cayrol, 2001). Il peut se manifester aussi dans des activités de groupe comme les jeux par exemple.

Au secondaire, l'apprentissage social consiste à organiser des activités d’apprentissage pour la résolution de problèmes, des études de cas ou des séances d’échanges et de mise en commun des connaissances. Les élèves de secondaire peuvent également faire l'usage des technologies d'information afin d'accéder à des ressources informationnelles, partager leurs travaux ou encore collaborer à la création des contenus dans des blogues ou wikis.

L’apprentissage social peut, dans le cadre des formations universitaires, se fait en utilisant des plateformes de gestion des connaissances comme Moodle (la plateforme Studium à l'université de Montréal par exemple). Ces plateformes mettent à la disposition des apprenants des outils de partage et d’édition de contenu comme les wikis, les forums et les salons de bavardage (chat). Les universités mettent en place également des bibliothèques virtuelles pour le partage des ressources électroniques comme les mémoires et les thèses de recherche.

Dans le milieu professionnel, il convient de noter l'utilisation des "podcasts" et le partage des présentations et des vidéos par les entreprises pour la formation continue de leurs employés. Ces outils offrent l'avantage d'être moins coûteux que des formations en salle et permettent de transmettre rapidement des informations en particulier dans les cas de conduite de changement (nouvelle organisation, mise à jour des procédures, etc.). Les entreprises misent également sur les technologies d'information pour mettre en place des communautés de pratiques virtuelles visant la capitalisation des connaissances (Knowledge Management) et l'amélioration de performances des employés.--

Certaines informations pourraient être intéressantes dans la présente fiche.

La références est: Henri, F., & Lundgren-Cayrol, K. (2001). Apprentissage collaboratif à distance: pour comprendre et concevoir les environnements d'apprentissage virtuels. Puq.

--Et323941 (discussion) 29 janvier 2017 à 15:59 (EST)Sara-Ann Doiron

Conseils pratiques

Références