Rétroaction formative

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Appellation en anglais

Préciser les termes anglais utilisés pour nommer cette stratégie.

Stratégies apparentées

Identifier les stratégies similaires, notamment en ce qui concerne les domaines d’apprentissage et les conditions d’apprentissage visées. Préciser, au besoin, les similitudes et les différences. Identifier les synonymes s’il y a lieu.

Type de stratégie

microstratégie

Domaine d’apprentissage

Décrire les connaissances visées. Expliquer en quoi cette stratégie est adaptée à ce type de connaissances. Donner des exemples des contenus ou champs disciplinaires dans lesquels la stratégie a été utilisée.

Description

Décrire la démarche d’enseignement-apprentissage proposée par la stratégie, notamment : la problématique et les origines de conception de cette stratégie, ses principales étapes, les conditions de la mise en oeuvre, les médias qui peuvent être utilisés pour supporter la stratégie.

Selon Shute (2007), la rétroaction est formative lorsqu’elle communique des informations susceptibles d’amener le récepteur à modifier sa pensée ou son comportement, dans le but d’améliorer son apprentissage ou sa performance. Pour ce faire, deux conditions sont nécessaires : d’une part, il faut que l’apprenant soit réceptif et d’autre part, que la rétroaction soit bien ciblée, objective, crédible et claire. En somme, une bonne rétroaction formative a un effet positif et facilitateur sur l’apprentissage en réduisant l’incertitude et la charge cognitive. Elle a aussi un effet d’orientation bénéfique en fournissant des informations qui permettent d’améliorer sa stratégie ou sa compréhension. Une rétroaction ayant un effet négatif sur l’apprentissage ne peut être qualifiée de formative. Par exemple, une rétroaction perçue comme une critique, qui tend à contrôler ou à évaluer, risque de faire plus de tort que de bien. La rétroaction peut aussi nuire à l’apprentissage si elle encourage l’insouciance, par exemple en fournissant des réponses avant que la personne n’ait eu le temps de faire un effort, ou si la rétroaction fournie est trop simple, trop complexe ou trop vague et ne correspond pas aux besoins cognitifs du récepteur. Il serait utopique de penser qu’il existe une recette universelle applicable à toutes les personnes et toutes les situations d’apprentissage.

Conditions favorisant l’apprentissage

Identifier, expliquer et justifier les conditions d’apprentissage que la stratégie vise à favoriser. Décrire quelle est la preuve empirique de l’efficacité de la stratégie.

Niveau d’expertise des apprenants

Identifier si la stratégie est adaptée aux apprenants débutants, intermédiaires ou novices dans un domaine. Décrire comment la stratégie prend en considération le niveau des connaissances des apprenants dans le domaine ciblé. Donner des exemples.

Type de guidage

Décrire quel est le type de guidage et de support offert par la stratégie. Faire les liens avec le niveau d’expertise des apprenants en décrivant comment et pourquoi le type offert est censé favoriser l’apprentissage de ces apprenants.

Type de regroupement des apprenants

Décrire le type de regroupement préconisé par la stratégie et comment on peut le réaliser. Donner des exemples.

Milieu d’intervention

Décrire dans quel milieu éducatif la stratégie a été utilisée. Donner des exemples.

Conseils pratiques

Dans la mesure du possible, fournir des conseils, des « trucs » ou des « astuces » en lien avec des exemples issus de la pratique « réelle » de cette stratégie.

Bibliographie

Identifier, selon les normes APA, toutes les ressources informationnelles utilisées pour rédiger cette fiche.

Webographie

Identifier et décrire brièvement des ressources complémentaires disponibles sur le web.