Différences entre versions de « Narration (storytelling) »

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== Types de connaissances ==
 
== Types de connaissances ==
La narration  emploie la situation réelle d’enseignement pour le développement de compétences et permet d’obtenir une connaissance plus approfondie au sujet de l’art d’enseigner. La technique narrative a été largement utilisée dans diverse domaines d’éducation tels que les sciences de la santé, les sciences de la vie et d'autres domaines. L’art d’enseigner n’implique pas qu’un simple transfert de connaissances d'une personne à une autre. Il s'agit plutôt d'un processus complexe qui facilite et influence le processus d’apprentissage. La qualité d’un enseignant est estimée selon le niveau auquel les stagiaires comprennent l’accès à son enseignement.  Les connaissances visées de narration et des compétences à développer sont les savoirs:  savoir-faire et savoir-être. Cette stratégie est une stratégie qui peut être applicable à tous les champs disciplinaires. Nous ne retenons que bien peu de choses; nous ne mémorisons qu’une partie infime de tout ce que nous pouvons voir, lire, entendre ou sentir. La mémoire des choses ne tient pas vers l’infini, mais plutôt vers zéro; et c’est justement ver cette tendance que l'on peut se permettre de raconter des histoires. La narration serait alors le moyen le plus simple, le plus efficace et le plus pertinent de décrire et de faire comprendre les éléments à enseigner. Le récit serait ainsi au cœur même de la pédagogie, au cœur d'une pédagogie qui reposerait avant toute à choisir la qualité et le statut des exemples choisis. La mémoire explicite permet d'encoder les connaissances déclaratives, le  savoir que ces connaissances sur le monde peuvent être  déclarées c’est-à-dire exprimées au moyen du langage et, par conséquent,  d’utiliser le langage comme moyen privilégié de la communication de ces connaissances entre les personnes. Les connaissances déclaratives présagent sur les concepts et les réseaux de concepts, c’est-à-dire des unités cognitives plus ou moins complexes, liées aux mots et regroupant une classe d'objets, d'actions, d'événements, etc. Les connaissances déclaratives sont indépendantes de leurs conditions d’emploi. <br />
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La narration  emploie la situation réelle d’enseignement pour le développement de compétences et permet d’obtenir une connaissance plus approfondie au sujet de l’art d’enseigner. La technique narrative a été largement utilisée dans diverse domaines d’éducation tels que les sciences de la santé, les sciences de la vie et d'autres domaines. L’art d’enseigner n’implique pas qu’un simple transfert de connaissances d'une personne à une autre. Il s'agit plutôt d'un processus complexe qui facilite et influence le processus d’apprentissage. La qualité d’un enseignant est estimée selon le niveau auquel les stagiaires comprennent l’accès à son enseignement.  Les connaissances visées de narration et des compétences à développer sont les savoirs:  savoir-faire et savoir-être. Cette stratégie est une stratégie qui peut être applicable à tous les champs disciplinaires. Nous ne retenons que bien peu de choses; nous ne mémorisons qu’une partie infime de tout ce que nous pouvons voir, lire, entendre ou sentir. La mémoire des choses ne tient pas vers l’infini, mais plutôt vers zéro; et c’est justement ver cette tendance que l'on peut se permettre de raconter des histoires. La narration serait alors le moyen le plus simple, le plus efficace et le plus pertinent de décrire et de faire comprendre les éléments à enseigner. Le récit serait ainsi au cœur même de la pédagogie, au cœur d'une pédagogie qui reposerait avant tout à choisir la qualité et le statut des exemples choisis. La mémoire explicite permet d'encoder les connaissances déclaratives, le  savoir que ces connaissances sur le monde peuvent être  déclarées c’est-à-dire exprimées au moyen du langage et, par conséquent,  d’utiliser le langage comme moyen privilégié de la communication de ces connaissances entre les personnes. Les connaissances déclaratives présagent sur les concepts et les réseaux de concepts, c’est-à-dire des unités cognitives plus ou moins complexes, liées aux mots et regroupant une classe d'objets, d'actions, d'événements, etc. Les connaissances déclaratives sont indépendantes de leurs conditions d’emploi. <br />
  
 
La mémoire implicite permet d'encoder les [[connaissances procédurales]] du type « savoir comment ». Ces connaissances de l’action dans le monde sont plus difficiles à « déclarer » sous une forme langagière. En effet, comme elles sont acquises (ou communiquées) par l’action ou l’imitation (la démonstration), elles ne sont pas toujours accompagnées de la description verbale. Elles sont dépendantes de leurs .
 
La mémoire implicite permet d'encoder les [[connaissances procédurales]] du type « savoir comment ». Ces connaissances de l’action dans le monde sont plus difficiles à « déclarer » sous une forme langagière. En effet, comme elles sont acquises (ou communiquées) par l’action ou l’imitation (la démonstration), elles ne sont pas toujours accompagnées de la description verbale. Elles sont dépendantes de leurs .

Version du 6 mai 2018 à 10:15

ÉBAUCHE (avec bibliographie)


Appellation en anglais

Adapted narrative / Storytelling

Stratégies apparentées

Une stratégie similaire est la discussion.

Certains synonymes de la stratégie de la narration sont: expression, conjugaison, citation, discours, explication détaillée, rencontre des histoires, récitation, reporter, récapitulation, les expériences passées,nouvelle, conte,monologue, saynète, pièce de théâtre,poème, acrostiche, jeu de mots, proverbe, dicton, etc.

Les approches narratives peuvent être utiles pour les étudiants dans le drame et dans les activités pour encourager l’utilisation d'un langage spécifique. Elles peuvent être utiles pour encourager les étudiants à s’engager avec l’autre dans les travaux de groupe par le biais de conversation et de raisonnement; par exemple, à travers un processus de résolution de problèmes en écrivant une narration ou à l’aide d’un ensemble d’outils de visualisation. La narration peut être une technique fantastique pour engager les étudiants dans l’apprentissage actif et pédagogique interactif, ce qui les incite à s’engager dans le dialogue en utilisant un langage spécifique dans des contextes appropriés. Le stratégie de narration pourrait servir aux côtés des approches de l’art dramatique.

Les approches narratives peuvent impliquer l’utilisation de drame, d'animation, d'organisateur d'images versus un récit ou d’autres méthodes. L'utilisation de la narration peut être utile pour un certain nombre de raisons; par exemple, les approches narratives peuvent être utiles pour les étudiants qui ne sont pas confortables avec l'écriture formelle ou la compréhension de longues. Ces approches sont surtout les scénarisations visuelles, etc. Cette méthode de narration peut être liée aux stratégies indépendantes. Une des similitudes avec la méthode narrative est que le drame qui est des activités verser à encourager l’utilisation de langage spécifique dans des contextes de drame. Ceci est utile pour encourager les étudiants à interpeller l’autre dans les tâches de travail de groupe par le biais de conversation de groupe et d'activités de raisonnement (par exemple, à travers un processus de résolution de problèmes en écrivant). La narration est une technique fantastique qui fait participer les étudiants à l’apprentissage actif. Cela fait partie de la pédagogie interactive qui encourage les étudiants à interpeller dans le dialogue qui utilise des contextes très spécifiques du langage. La narration peut être efficace dans la transmission des informations. Cette approche aide les étudiants à explorer les ressources sur la vidéo et à réfléchir à comment elles pourraient être utilisées dans d’autres situations de leur vie. La stratégie de narration encourage les étudiants à réfléchir à la manière de dépeindre leurs connaissances par l’intermédiaire de narrations. Qu’est-ce qui est intéressant dans le fait de raconter des histoires? En fait, cela est une mesure de procédures pour influer sur des savoirs à transmettre l’information.

Type de stratégie

Le récit est une microstratégie.

Dans ce type de stratégie de micro-enseignement, la conception pédagogique est élaborée dans quatre domaines d’enseignement: objet de compensation, conception micro-leçon issue des règles cognitives, méthode d’analyse raisonnable et conception de tableaux appropriés. Tout d’abord, le sujet est introduit dans le nouveau contenu. Le résultat montre que la conception de matériel pédagogique a un excellent effet dans les activités d’enseignement. Le micro-enseignement est basé sur cette technique, car cela se fait par périodes de 10 à 15 minutes avec une portée étroite. C’est une activité d’enseignement petite, mais intégrée dont les centres avec la ressource de vidéo micro et en correspondance avec d’autres ressources de l’éducation. Les méthodes d’enseignement doivent être appropriées et aident les étudiants à comprendre les connaissances, acquérir des compétences et la formation de compétences. Le micro-enseignement aide les étudiants à développer une attitude proactive d’apprentissage. La conception de matériel pédagogique est la partie la plus importante des méthodes d’enseignement dans le micro-enseignement.

Types de connaissances

La narration emploie la situation réelle d’enseignement pour le développement de compétences et permet d’obtenir une connaissance plus approfondie au sujet de l’art d’enseigner. La technique narrative a été largement utilisée dans diverse domaines d’éducation tels que les sciences de la santé, les sciences de la vie et d'autres domaines. L’art d’enseigner n’implique pas qu’un simple transfert de connaissances d'une personne à une autre. Il s'agit plutôt d'un processus complexe qui facilite et influence le processus d’apprentissage. La qualité d’un enseignant est estimée selon le niveau auquel les stagiaires comprennent l’accès à son enseignement. Les connaissances visées de narration et des compétences à développer sont les savoirs: savoir-faire et savoir-être. Cette stratégie est une stratégie qui peut être applicable à tous les champs disciplinaires. Nous ne retenons que bien peu de choses; nous ne mémorisons qu’une partie infime de tout ce que nous pouvons voir, lire, entendre ou sentir. La mémoire des choses ne tient pas vers l’infini, mais plutôt vers zéro; et c’est justement ver cette tendance que l'on peut se permettre de raconter des histoires. La narration serait alors le moyen le plus simple, le plus efficace et le plus pertinent de décrire et de faire comprendre les éléments à enseigner. Le récit serait ainsi au cœur même de la pédagogie, au cœur d'une pédagogie qui reposerait avant tout à choisir la qualité et le statut des exemples choisis. La mémoire explicite permet d'encoder les connaissances déclaratives, le savoir que ces connaissances sur le monde peuvent être déclarées c’est-à-dire exprimées au moyen du langage et, par conséquent, d’utiliser le langage comme moyen privilégié de la communication de ces connaissances entre les personnes. Les connaissances déclaratives présagent sur les concepts et les réseaux de concepts, c’est-à-dire des unités cognitives plus ou moins complexes, liées aux mots et regroupant une classe d'objets, d'actions, d'événements, etc. Les connaissances déclaratives sont indépendantes de leurs conditions d’emploi.

La mémoire implicite permet d'encoder les connaissances procédurales du type « savoir comment ». Ces connaissances de l’action dans le monde sont plus difficiles à « déclarer » sous une forme langagière. En effet, comme elles sont acquises (ou communiquées) par l’action ou l’imitation (la démonstration), elles ne sont pas toujours accompagnées de la description verbale. Elles sont dépendantes de leurs .

Description

Le storytelling peut être perçu comme étant l’une des plus anciennes formes de communication connue: celle de raconter une histoire. Elle est souvent considérée comme étant la technique par excellence pour communiquer les valeurs d’une marque. Cela est difficile à dire, car c’est quelque chose qui a relativement toujours existé. En ce moment, nous vivons dans une période où cette façon de communiquer est populaire, mais fondamentalement, ce n’est pas quelque chose de nouveau. De nos jours, les gens ont accès à plusieurs plateformes, ce qui leur permet d’être en contact avec la marque et ce, dans plusieurs contextes différents. De ces plateformes, certaines sont tout à fait adaptées au storytelling et il existe une panoplie d’outils qui permettent non seulement de créer des histoires, mais aussi de permettre aux utilisateurs d’interagir et de compléter cette histoire. Disons donc que c’est le contexte technologique plus que la mentalité qui a évolué. Les moyens plutôt que l’intention, car le storytelling en lui-même est une technique de communication qui existe depuis la nuit des temps. La méthode narrative peut être utilisée comme une stratégie pédagogique conçue pour véhiculer des concepts abstraits grâce à une expérience concrète. Les récits engagent les étudiants à la pensée critique et à la réflexion personnelle et leur fournissent l’occasion d’établir des liens entre les contextes sociaux et historiques. En outre, l’enseignant utilise les narrations pour comparer plusieurs contextes avec des expériences personnelles, ce qui reflète les stratégies d’enseignement précédemment identifiées comme celles utilisées par les enseignants électives. Il est prouvé que le partage des idées et des concepts à travers l’histoire est un moyen important de favoriser des relations sociales et d’aider les étudiants à faire des liens entre ce qu’ils apprennent à l’école et ce qu’ils savent du monde. La méthode narrative comme stratégie pour poser des questions critiques encadre un cadre de discussion, encourage les élèves à réfléchir sur des points de vue personnels et à présenter des idées et des concepts. Le modèle fournit une représentation visuelle de l’utilisation de l’enseignant du récit comme un moyen de clarifier le contenu des cours / les mises en contexte des sens et de renforcer la compréhension.

Conditions favorisant l’apprentissage

Alterio (2003) explique que le Storytelling est une stratégie puissante pour la communication et l'apprentissage. Cette stratégie est naturelle et spontanée pour bien des enseignants, professeurs, parents qui souhaitent expliquer le monde aux enfants. Lorsque cette stratégie est utilisée adéquatement, un apprentissage significatif est possible (Clandinin and Connelly, 1998; McDrury and Alterio, 2002; McEwan and Egan, 1995; Pendlebury, 1995; and Witherell and Nodding, 1991, cités dans Alterio, 2003). L'auteur mentionne que, lorsque les enseignants utilisent cette stratégie, le storytelling présente plusieurs avantages pour l'apprentissage :

  • Encourager la coopération;
  • S'inscrire dans une perspective holistique;
  • Valoriser la place des émotions dans l'apprentissage;
  • Faciliter le lien entre la théorie et la pratique;
  • Stimuler l'esprit critique;
  • Illustrer la complexité d'une situation;
  • Mettre en exergue les multiples perspectives d'une situation;
  • Donner un sens à l'expérience d'apprentissage;
  • Encourager l'autoévaluation;
  • Construire de nouvelles connaissances.

Cette stratégie peut ainsi susciter l'intérêt des élèves, ce qui est l'une des composantes-clé de l'apprentissage selon une approche cognitive (Willingham, 2010).Selon Eckermann (1994), les relations entre les traditions culturelles, les contextes sociaux et environnements, et "ce qui nous donne envie d’apprendre, avec qui et sur quelle base" sont tous facettes de la classe communautés . Les étudiants apporteront des compréhensions, des concepts, des explications et des interprétations dans la salle de classe. Comme le mentionne Bruner (1996), de nombreux théoriciens ont présenté des débats d’autonomisation de l’éducation; l’éducation démocratique et pédagogie critique qui sont des points de vue utiles pour identifier les idées, la catégorie et la construction des pratiques d’enseignement en général. L'auteur a également déclaré que le partage mutuel des histoires et la construction d’un social soi-même dans les étudiants en classe et les enseignants peuvent être motivés pour explorer les interprétations alternatives au matériel de salle de classe et de l’expérience. Tel que mentionné par Freire (1996), les histoires peuvent fournir « l’entremêlement des voix et explorer des possibilités de l’histoire, afin que les étudiants se sentent comme maîtres de leur pensée. "En partageant des histoires, nous avons le potentiel pour forger de nouvelles relations dans les cultures locales en classe dans lequel les individus sont reliés entre eux et de nouvelles . Tel que discuté par Dyson & Genishi (1994), c’est non seulement important, mais nécessaire pour les enseignants et les élèves de construire des sens, partager leurs connaissances à travers l’enseignement et l’apprentissage des interactions et la communication entre les membres du groupe.

Gallimore et Tharp (1990) croient qu'explorer les croyances dans les classes à travers l’histoire est comme un moyen de construction et d’évaluation de nous-mêmes, d’autres, et d'expériences . Encore mieux, Schank (2003) s’adresse aux étudiants à raconter leurs propres histoires . Notre cerveau peut être nécessaire pour certaines conditions à remplir avant qu’il permette à des histoires d’outsider d'effectuer la mesure de la variation. Aimer entendre nous parler et nous raconter des histoires est un moyen important pour nous d’appréhender le monde. Raconter des histoires peut aider nos étudiants à apprendre, certainement, mais la recherche par le psychologue cognitif Roger (1998) suggère que les effets à long terme de la stratégie d’apprentissage de la narration sont plus limités que cela ne paraît parfois. Nous apprenons par les histoires de l’audience des autres — comme d’un professeur — surtout quand les conditions sont réunies : lorsque le sujet est quelque chose que nous connaissons et se soucie, lorsque nos convictions déjà détenues ne sont pas tenues trop fortement, lorsque l’histoire surprend ou nous fait peur.

Selon Nahum (2005), « le cerveau humain a une capacité prodigieuse de synthèse multisensorielle de l’information quand celle-ci lui est présentée sous une forme narrative. Selon M. Bran Ferrenet Salo (2006), chaque fois que l’on a introduit une nouvelle technologie dans le storytelling, cela a changé le monde. Il suffit de penser à l’imprimerie, au télégraphe et au téléphone, à la presse, à la radio, à la télévision, et tout récemment à Internet. Les activités et processus de narration significative intègrent les possibilités de dialogue réfléchissant, favorisant l’effort collaboratif, cultivant l’esprit d’enquête et contribuant à la construction de nouvelles connaissances. En outre, des réalités culturelles, contextuelles et émotionnelles peuvent reconnaître, apprécier et être intégrées dans les processus de la narration. Les étudiants qui apprennent en la racontant réflectivement développent des habiletés qui leur permettent de lier les perspectives subjectives et objectives, de saisir la complexité de l’expérience et d'apporter des changements bien pensés pour soi et pratiques. Lorsque le conte est utilisé comme un mode robuste d’examen, l’apprentissage des élèves est étendu à plusieurs égards.

Niveau d’expertise des apprenants

Une des meilleures façons de rendre l’apprentissage pertinent consiste à relier les enseignants et les apprenants en racontant et écoutant des histoires. Les gens ont peur de l’inconnu, tant pour les étudiants que les enseignants. L’utilisation de méthodes de narration comme stratégie d’enseignement demande que l’enseignant et les étudiants changent leur méthode d’enseignement et méthodes d’apprentissage. Ce changement pédagogique, en particulier, requiert des enseignants qui veulent modifier leur rôle traditionnel d’enseignement. Donc avec les méthodes de narration, l’enseignement devient un apprentissage centré sur l’étudiant, pas axé sur les enseignants. L’enseignant ne contrôle plus ce qui est appris ; au contraire, les apprenants dirigent leurs apprentissages. L'acquisition de connaissances requiert que les enseignants changent la façon dont ils enseignent afin que les apprenants puissent changer la façon dont ils apprennent. Dans cette perspective, les salles de classe sont des environnements multicouches qui font face à des processus et des relations sociales dynamiques (John-Steiner, Panofsky et Smith, 1994) qui sont intégrés dans l’enseignement et le processus d’apprentissage. Bruner a postulé qu’il y a deux modes de pensée. La première--« paradigmatique »--est le mode de la science, soit de décrire et expliquer logiquement le monde. Il catégorise et conceptualise, organise dans les systèmes et ne testerait vérité empirique . Il traite essentiellement de vérifiabilité, à établir que les façons dont les choses sont. Le second est le mode de « récit ». En revanche, il trouve la logique du monde à travers des histoires, par le biais de la recherche de sens et l’expérience particulière de l’existence humaine vécue au fil du temps. Il ne se préoccupe pas de vérifiabilité, mais s'intéresse plutôt à la vraisemblance ; ne pas d’être juste, mais avec le sentiment juste. Chacun d'entre nous utilise les deux modes de pensée tout le temps, même si, bien sûr, nous pouvons tendent à favoriser un sens ou l’autre dans l’explication de notre monde. Comme les enseignants, je pense que nous sommes très bons à utiliser le mode paradigmatique. Dans l’enseignement des concepts importants à nos étudiants, nous exposons notre cas et montrons comment les idées sont liées entre elles. Nous distinguons les concepts qui sont similaires, mais les différencions de manière significative. Le mode paradigmatique est essentiel pour la salle de classe, une arène où les idées fausses sont corrigées, où la clarté est poursuivie et où nous nous efforçons que nos étudiants comprennent des sujets complexes et organisés

Type de guidage

Décrire quel est le type de guidage et de support offert par la stratégie. Faire les liens avec le niveau d’expertise des apprenants en décrivant comment et pourquoi le type offert est censé favoriser l’apprentissage de ces apprenants.

Type de regroupement des apprenants

Décrire le type de regroupement préconisé par la stratégie et comment on peut le réaliser. Donner des exemples.

Milieu d’intervention

Décrire dans quel milieu éducatif la stratégie a été utilisée. Donner des exemples.

Conseils pratiques

Dans la mesure du possible, fournir des conseils, des « trucs » ou des « astuces » en lien avec des exemples issus de la pratique « réelle » de cette stratégie.

L'association des professionnels de la communication et du marketing présente une description simple de cette stratégie:

https://apcm.biz/storytelling-conseils-astuces/

Ressources informationnelles utilisées dans la fiche

Ici figurent toutes les ressources informationnelles qui ont été lues et utilisées par les contributeurs successifs pour rédiger la fiche. Ces ressources ont être puisées dans celles qui ont été pré-déterminées ci-dessous, dans la section : Ressources informationnelles disponibles. Toutefois, chaque contributeur peut choisir d'utiliser d'autres ressources, du moment qu'elles sont pertinentes pour la thématique traitées, crédibles et présentent un contenu de qualité. Les références utilisées doivent être placées dans la bonne section : soit dans la bibliographie (articles, livres, chapitres) soit dans la webographie (ressources électroniques diverses, cependant les articles des revues électroniques ou des chapitres publiées en ligne doivent être placées dans la bibliographie).

Bibliographie

Placez dans cette section les articles des revues (y compris les revues en ligne, les livres ou les chapitres de livres (y compris ceux qui sont disponibles en ligne). Indiquez l'hyperlien si possible. Citez vos ressources selon les normes APA. Pour ce faire, utilisez le guide suivant : Couture, M. (2013, mise à jour). Adaptation française des normes bibliographiques de l'APA. Récupéré du site http://benhur.teluq.uquebec.ca/~mcouture/apa/Presentation.htm


Alterio, M. (2003). Using Storytelling to Enhance Student Learning. Higher Education Academy: Récupéré de : https://eclass.uowm.gr/modules/document/file.php/ELED163/%CE%9C%CE%AC%CE%B8%CE%B7%CE%BC%CE%B1%208%CE%BF%3A%20%CE%A7%CF%81%CE%AE%CF%83%CE%B7%20%CF%84%CF%89%CE%BD%20%CE%B9%CF%83%CF%84%CE%BF%CF%81%CE%B9%CF%8E%CE%BD%20%CF%83%CF%84%CE%B7%20%CE%B4%CE%B9%CE%B4%CE%B1%CF%83%CE%BA%CE%B1%CE%BB%CE%AF%CE%B1/Alterio,%20M.,%20(2003).pdf

Willingham, D. T. (2010). Pourquoi les enfants n’aiment-ils pas l’école? (chapitre 1). In D. T. Willingham (Ed.), Pourquoi les enfants n’aiment pas l’école?, (pp. 3-23). Paris, France: La Librairie des Écoles.

Webographie

Placez dans cette section des ressources informationnelles complémentaires disponibles sur le web. Chaque ressources doit être décrite brièvement.Indiquez l'hyperlien (bien évidemment)et la date de consultation. Tâchez de citer vos ressources selon les normes APA. Pour y parvenir, utilisez le guide du professeur Couture, notamment cette section du guide en ligne : Couture, M. (2013, mise à jour). Adaptation française des normes bibliographiques de l'APA. Récupéré du site http://benhur.teluq.uquebec.ca/~mcouture/apa/Presentation.htm

Ressources informationnelles disponibles pour rédiger et améliorer la fiche

Ici figurent les références sélectionnées sur la stratégie dont traite la fiche et, éventuellement, des sujets plus généraux mais liés de près à la thématique de la fiche. Si vous utilisez ces ressources pour rédiger votre contribution, vous devez les citer dans votre texte et, de plus, les déplacer dans la section " Ressources informationnelles utilisées". Vous pouvez aussi, comme tout autre contributeur au Wiki-TEDia, ajouter ici toutes les ressources informationnelles que vous connaissez, que vous avez trouvées sur le web ou en lisant d'autres écrits, même si vous les utilisez pas. Cette section fait donc office de veille sur la thématique couverte par la fiche. Veillez à placer les ressources proposées dans la bonne section : soit dans la bibliographie (articles, livres, chapitres) ou dans la webographie (ressources électroniques diverses, cependant les articles des revues électroniques ou des chapitres publiées en ligne doivent être placées dans la bibliographie).

Bibliographie

Dans cette section figurent les articles des revues (y compris les revues en ligne, les livres ou les chapitres de livres (y compris ceux qui sont disponibles en ligne). L'hyperlien peut être indiqué si possible. Les ressources doivent être citées selon les normes APA. Pour ce faire, utilisez le guide suivant : Couture, M. (2013, mise à jour). Adaptation française des normes bibliographiques de l'APA. Récupéré du site http://benhur.teluq.uquebec.ca/~mcouture/apa/Presentation.htm

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Webographie

Dans cette section figurent des ressources informationnelles complémentaires disponibles sur le web. L'hyperlien doit être indiqué, de même que la date de consultation. Les ressources doivent être citées selon les normes APA. Pour cela, utilisez le guide du professeur Couture, notamment cette section du guide en ligne : Couture, M. (2013, mise à jour). Adaptation française des normes bibliographiques de l'APA. Récupéré du site http://benhur.teluq.uquebec.ca/~mcouture/apa/Presentation.htm



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Higher Education Academy, Learning through storytelling, https://www.heacademy.ac.uk/enhancement/starter-tools/learning-through-storytelling#sthash.RUuyTWZD.dpuf

Pucheu-Planté, C. (2013, mai). Écrire avec le web. Prezi. Récupéré du site de L"Académie de Créteil (France) http://www.cddp91.ac-versailles.fr/spip.php?article861

Un article qui présente l'utilisation de Prezi pour "raconter des histoires".

Thot Cursus (2014). L’art du récit : Scénarisation pédagogique et storytelling. Récupéré du site de Thot cursus le 3 novembre 2016 : http://cursus.edu/dossiers-articles/dossiers/18/art-recit-scenarisation-pedagogique-storytelling/#.WBtmX8m5J6w

Dossier spécial : recueil de 21 publications entre mai 2011 et mars 2014.

Youth, Education and storytellers Alliance (2012). Storytelling and the common core standards, National Governors Association Center for Best Practices, Council of Chief State School Officers, Washington D.C. Récupéré de http://yesalliance.org/wp-content/uploads/2013/02/STandCCS-June2012.pdf

Youth, Educators, and Storytellers Alliance (YES!) (2006) A Statement Concerning the Importance of Storytelling in Education, August 1, http://www.yesalliance.com/

A World-Wide List of Courses In and/or About Storytelling Taught at Colleges and Universities, Récupéré de http://www.storytellinginstitute.org/07.html


Vidéos

Brown, L. (2011). One story of storytelling in higher education. The Art of Storytelling Show. Récupéré de: http://www.artofstorytellingshow.com/2011/04/29/larry-brown-storytelling-in-higher-education/

Digital Storytelling MOOC https://digitalstorytelling.coe.uh.edu/

University of HoustonVideo http://digitalstorytelling.coe.uh.edu/archive/

À noter : l'implication du Centre Phi à Montréal

Les storytellers de demain II, Conférence d’une journée élaborée par Future of StoryTelling et Phi, sur le thème Entre réalité virtuelle et réalité physique, les frontières s’estompent. 7 décembre 2016 https://phi-centre.com/evenement/les-storytellers-de-demain-ii/